1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 ne me sens pas trop embarrassé ; comme j’habite l’ Odéon , c’est toujours le fantôme de l’Odéon qui m’accompagne et nous ne dis
2 j’habite l’Odéon, c’est toujours le fantôme de l’ Odéon qui m’accompagne et nous ne disons presque rien, nous savons les même