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es. Sincérité, le mal du siècle. Tout le monde en
parle
, et chacun s’en autorise pour excuser sa petite faiblesse originale :
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lui — et l’étonnement indigné du spectateur. Pour
parler
avec un peu de clairvoyance de ce dont nous avons vécu jusqu’à tel jo
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e montai. Il n’y avait que des dames. Personne ne
parlait
. La jeune femme qui s’était penchée vous ressemblait tant. Mais je n’
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s couloirs implacablement brillants, je me pris à
parler
à haute voix, par bribes de phrases incohérentes. Je voyais avec une
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uve, pour mon compte, dans le fait que je ne sais
parler
de lui autrement que par métaphores.) 5. M. Zimmer, dans la Gazett
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idée de génie vint s’asseoir certaine nuit. Elle
parla
par la bouche de Lugin, sa langue dans la langue de Lugin : « Le ride
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r un sens du miracle assez bouleversant. Et je ne
parle
pas du miracle genre conte de fée, comme le Voyage imaginaire en mont
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savons… Mais pour Aragon, ce n’est point façon de
parler
. Son « nulle part » est sans dérobade possible par sous-entendu. Pas
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vivante ; si je dénie à des incrédules le droit à
parler
des choses de la foi comme étant d’un ordre qui leur échappe ; de mêm
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de. Aigles d’amours, oiseaux doux et cruels, nous
parlerons
vos langues aériennes. On n’acceptera plus que des valeurs de passion
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comme M. Albert Muret dont le Journal de Genève
parlait
naguère, tu mangeras avec appétit une poule au riz arrosée d’un savou
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e mépris de la littérature (juillet 1927)v I
Parler
littérature Si je prononce le nom de tel de vos confrères, si je d
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z-vous. Mais j’ai tué la littérature en moi, n’en
parlez
plus, j’en sors, je l’abandonne… Mais notre paysan, rusé : — Vous l’a
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issant, à force de le crier sur les toits. Ainsi,
parler
littérature, c’est faire la part du feu. Je dis ces noms, ces opinion
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, aujourd’hui, à ce qu’il ne tolère pas qu’on lui
parle
littérature. Mais il y a des mépris qui sont de sournoises déclaratio
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ttératuré » des écrivains d’aujourd’hui. Quand il
parle
littérature, il a toujours l’air de mettre un peu les pieds dans le p
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critique fort alerte. Jugez-en à la façon dont il
parle
de « ses quelques succès, si disproportionnés avec son mérite ». Il a
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a son salut dans un subterfuge : il insinua qu’il
parlait
au nom d’une secte orientale. Aussitôt la discussion de reprendre, et
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ale. Aussitôt la discussion de reprendre, et l’on
parla
défense de l’Occident. L’ange s’enfuit par l’un des nombreux trous de
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rôti ce que le style à la pensée. Il arrive qu’on
parle
, en art culinaire, du style d’un rôti, et en cuisine littéraire, de p
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u plat idéal : Du Bos en sauce Marthaler. Mais ne
parlons
pas de mangeaille : c’est tout de suite écœurant et prétentieux. Je s
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remarque simplement qu’on n’est jamais mieux pour
parler
qu’en face d’une assiette pleine : l’occupation agréable et essentiel
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mann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en
parler
vous voyez bien que j’ai quitté cette table écroulée, dans la fumée e
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’esprit créateur de systèmes. Depuis lors on nous
parle
du créé et du créant. Mais nous voudrions des créateurs qui parlent.
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du créant. Mais nous voudrions des créateurs qui
parlent
. Peu nous importe les « conditions » purement logiques d’une vérité
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d’obéissance à l’ordre « tombé du ciel ». Comment
parler
de la « restauration intégrale d’une dogmatique appartenant aux siècl
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e voyais dans sa bibliothèque immense et qu’il me
parlait
avec feu d’actions réelles dont il était l’âme et l’agent, non pas en
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cet homme solide et fin, passionné et précis, au
parler
vif et sachant écouter, rompu aux abstractions et sachant voir, toujo
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ssi le plus utilement critique si vous alliez lui
parler
d’un projet, d’une œuvre en cours, des circonstances d’une humble vie
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nous avertit que son langage n’est pas celui que
parlent
« la nature et l’art tels qu’il les a connus autrefois ». Ce n’est pa