1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 r de tristesse ou de sérénité qui métamorphose le paysage du passé. Ainsi de certains décors modernes : vous changez l’éclairag
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
2 s fragiles. L’aube tire un écran de pluies sur le paysage commercial. Terminus : Morand, s’éveillant en français, termine : … I
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
3 rtigineuse, poursuivant le corbillard. Aspects du paysage urbain vu par les poursuivants, arbres au ciel renversé, maisons obli
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
4 e manque souvent à ces récits : ce n’est point un paysage d’âme qu’on y cherche, mais l’anecdote bien tournée, des noms connus.
5 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
5 est pourquoi vos rêves composent toujours le même paysage de carte postale en couleurs, idéal inévitable de ceux qui n’ont pas
6 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
6 grecs, d’éclats de lumière élevés dans l’immense paysage intérieur. Ou moins encore, quelques syllabes et des tirets remplaçan
7 de rêve, où jamais il n’ira, car elle n’est plus. Paysages évoqués — non décrits et pour cause — par quelques épithètes des plus