1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 pour n’y plus rien comprendre. ⁂ Qu’on imagine un personnage de tableau se mettre à décrire ce qu’il voit autour de lui — et l’éto
2 te au lecteur parce qu’il ne sait pas tout sur le personnage . Mais quant à l’auteur, il n’y a pas de gratuité. Le geste le plus in
3 t d’un mécanisme inconscient, aussi révélateur du personnage que ses actions les mieux concertées. Rien n’est gratuit que relative
4 Un arrêt (l’auteur se met à se regarder vivre, le personnage à douter du sens de sa vie) et les forces centripètes l’emportent peu
5 manciers modernes ont-ils tant de mal à créer des personnages  ? C’est parce qu’une sorte de sincérité les retient d’imposer aux hér
6 ’illusion. (Max Jacob.) Un rôle ? Oui. Mais si le personnage est maintenu jusqu’à la mort, il se confond avec l’homme même. (André
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
7 êlais à mes pensées des fragments de rêves et les personnages des affiches, tout en marchant sans fin dans les couloirs implacablem
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
8 pressions courantes, maximum de « situation » des personnages obtenu avec un minimum de répliques ; enfin, un style parfaitement pa
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
9 chef d’orchestre dont la baguette éteint tous les personnages et lui-même. ⁂ Le tout ne dure pas 20 minutes. Et c’est heureux. Nous
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
10 . Paul Valéry, de l’Académie française. Narcisse, personnage mythologique. — Là ! [NdE] Le texte publié place également un appel d