1
ès bien. Les circonstances l’exigent, d’ailleurs,
plus
que jamais, et plus que jamais, nous semble-t-il, notre revue a sa ra
2
tances l’exigent, d’ailleurs, plus que jamais, et
plus
que jamais, nous semble-t-il, notre revue a sa raison d’être. La vie
3
as la meilleure raison pour nos aînés de chercher
plus
patiemment encore à nous comprendre et de nous accorder une confiance
4
toujours « autre chose ».) Nous ne prétendons pas
plus
être « bien bellettriens » — prétention éminemment peu bellettrienne.
5
ment peu bellettrienne. Que sommes-nous donc ? Le
plus
qu’on puisse dire, c’est que vous le saurez un peu mieux quand vous a
6
e anarchie dont on ne veut pas avouer qu’elle est
plus
nécessaire — provisoirement — que satisfaisante pour l’esprit. C’est
7
que fier et un peu douloureux des défaitismes les
plus
subtils comme des plus pures et loyales inquiétudes. Sincérité, le ma
8
oureux des défaitismes les plus subtils comme des
plus
pures et loyales inquiétudes. Sincérité, le mal du siècle. Tout le mo
9
endu les éclaircissements du subtil abbé pour n’y
plus
rien comprendre. ⁂ Qu’on imagine un personnage de tableau se mettre à
10
ns aussi perfides et si profondément mêlées à ses
plus
chères aventures. Sincérité et spontanéité « Nos actes les plus
11
es. Sincérité et spontanéité « Nos actes les
plus
sincères sont aussi les moins calculés », écrit Gide. D’où l’on peut
12
En chaque être, le pire instinct me paraissait le
plus
sincère. » La sincérité spontanée, vertu moderne en qui renaît un myt
13
à l’auteur, il n’y a pas de gratuité. Le geste le
plus
incongru du héros n’est jamais que le résultat d’un mécanisme inconsc
14
personnalité. Ce serait un moyen de connaissance
plus
intégrale de soi. Mais pour être moins pittoresque et plus « entachée
15
grale de soi. Mais pour être moins pittoresque et
plus
« entachée d’utilitarisme », la décision réfléchie, aussi peu gratuit
16
nant à nous donner de nous-mêmes une connaissance
plus
intense et plus émouvante ; mais la morale, plutôt que de nous consta
17
er de nous-mêmes une connaissance plus intense et
plus
émouvante ; mais la morale, plutôt que de nous constater, doit nous c
18
onstater, doit nous construire — selon le mode le
plus
libre, le plus conscient à la fois et le plus voluptueux. Sincérit
19
nous construire — selon le mode le plus libre, le
plus
conscient à la fois et le plus voluptueux. Sincérité envers soi-mê
20
le plus libre, le plus conscient à la fois et le
plus
voluptueux. Sincérité envers soi-même Noli me tangere. Premi
21
ant de partir. Ou bien je me mettrai à l’analyser
plus
longuement. Mais alors je le fausse, puisque je le prive de la puissa
22
en gestes, en conséquences matérielles. Ce n’est
plus
l’élan pur que je décris : c’est un élan freiné dans mon esprit, c’es
23
suis-je ? Je revois des actes accomplis, je revis
plus
ou moins fortement des sentiments que je crois avoir éprouvés à tel m
24
penchais sur mon passé. Ou, pour user d’une image
plus
précise, cette minute est baignée d’une lueur de tristesse ou de séré
25
surtout de René Crevel ont donné les exemples les
plus
récents et significatifs ? Tous ces livres évoquent assez précisément
26
poignant de René Crevel, est la démonstration la
plus
cynique que je connaisse de ces ravages du sincérisme. Dans la solitu
27
er quelque raison de vivre, il voulait se voir le
plus
purement (« cette curiosité donnée comme raison d’une perpétuelle att
28
ourd’hui. J’ai dit : ravages du sincérisme. C’est
plus
exactement faillite qu’il faudrait. Faillite de toute introspection,
29
r de faire mon autoportrait moral : je me compose
plus
laid que nature. Faut-il conclure avec Gide : « L’analyse psychologiq
30
qui ajoutait que l’homme sincère « en vient à ne
plus
pouvoir même souhaiter d’être différent », ce qui est la négation de
31
ésagrégation de la personnalité, car l’analyse la
plus
savante, comme l’a fort bien dit Ramon Fernandez, « retient tous les
32
F. Raub. La sincérité obstinée d’un Rivière n’a
plus
rien de spontané. En quoi est-ce encore de la sincérité ? Trop sincèr
33
uissiez-vous avouer moins de sincérité et montrer
plus
de style. (Georges Duhamel.) … Nous ne sommes pas, nous nous créons.
34
tains, peut-être, jouent leur vie. Rien ne paraît
plus
sinistre à la sincérité presque pure de cet âge. Mais il le faut dépa
35
éal que j’appelle en chaque minute de ma joie est
plus
réel que celui qu’une analyse désolée s’imaginait retenir. Dès lors,
36
e c’est ma sincérité d’y aller par les moyens les
plus
efficaces ? Mais on nommera cela de l’hypocrisie. Soit, j’accepte. Et
37
proposait une ferveur nouvelle, et chaque être un
plus
prenant sourire. Cependant que ma joie — un état de grâce, un amour —
38
de telle possession particulière, ne pouvait non
plus
s’imaginer qu’elle en pût être privée. Alors, acquiesçant vivement à
39
iesçant vivement à l’invite que je soupçonnais la
plus
riche d’inconnu, je m’élançais sur la voie qu’elle m’ouvrait, avec ta
40
s possibles. C’est ainsi que fidèle à soi-même au
plus
profond de l’être, on entretient comme une arrière-pensée sagace et o
41
, peut-être lointain, en quoi consiste l’unité la
plus
réelle de l’individu — en dehors du corps. Et ce ne sont point là jeu
42
u et calculer rapidement le retour à une fidélité
plus
profonde. Fidélité à sa loi individuelle, quelles merveilleuses duper
43
cela suppose. Mais c’est une honnêteté peut-être
plus
réelle que l’autre. Et l’on conçoit que ce constant et secret assujet
44
t au moi idéal exige une politique des sentiments
plus
subtile et, je pense, moins vulgaire que cette agilité offensive qu’o
45
ace — qui m’interdit de nommer ce dont je ne veux
plus
souffrir. (Car il n’est peut-être qu’une espèce de souffrance véritab
46
sphinx ; hypocrisie, masque ambigu d’une liberté
plus
précieuse que toute certitude… Ô vérité, ma vérité, non pas ce que je
47
tes qu’il m’aurait fait commettre. Manifester est
plus
sincère qu’analyser. 2. D’ailleurs toute la psychologie moderne soul
48
ommutateur des étoiles… l’une, se décrochant sans
plus
d’hésitation, se mit à pérégriner dans les régions de chasse gardée d
49
s’étirant ; le printemps désormais rendra le ciel
plus
pâle, et nous irons chercher dans le souvenir les vent-coulis de la m
50
écrire au moment où je vais me suicider, d’autant
plus
que vous n’y croirez pas — et pourtant… Il faut aussi que je vous dis
51
le feu n’a pas pris, et d’ailleurs cela n’en vaut
plus
la peine. (Veuillez ne pas voir dans cette phrase quelque allusion de
52
parce que c’est là que se nouent les douleurs les
plus
atrocement inutiles. La première fois, au théâtre. Dans l’ombre, j’ai
53
me sur vos traits seulement ; l’écho n’en fut que
plus
douloureux dans mon cœur. Puis je vous ai oubliée. Puis je vous ai re
54
de vous voir si entourée… D’autres fois… je n’ai
plus
le courage de les dire. Enfin, avant-hier, à ce bal. J’avais demandé
55
la promesse. Vos regards rencontrèrent les miens
plus
d’une fois pendant une danse qu’il fit avec vous, mais vous les détou
56
que mes airs sombres vous effrayaient sans doute
plus
qu’ils ne vous attiraient. Mais, maintenant, je pense que ces regards
57
outes les lampes, et les couples charlestonnaient
plus
furieusement dans l’ombre livide, aux cris fêlés et déchirants des sa
58
oriflammes sur l’orchestre pensif. Ton regard est
plus
grand que le chant des violons. Aube dure ! En ma tête rôde ton souve
59
j’ai perdu la notion du temps. Je ne me souviens
plus
que de cette déception insupportable et définitive de mon désir. Je n
60
te sournoise recherche de tout ce qui me navre au
plus
intime de mon être… Le revolver est chargé, sur cette table. (Je le c
61
lasse, l’image que je m’en forme… Je ne comprends
plus
pourquoi je devrais me tuer, pourquoi je souffre, ce que c’est que la
62
que c’est que ma vie, ma mort. Mon Dieu, il n’y a
plus
qu’un glissement gris, sans fin… Il faudrait que je dorme : il n’y au
63
ans fin… Il faudrait que je dorme : il n’y aurait
plus
rien. 4. Encore un qui vous aime, je ne vous dirai pas son nom. i.
64
cette « tragédie » ; de ne pouvoir m’empêcher non
plus
de soupçonner Cocteau d’en avoir plus ou moins consciemment concerté
65
mpêcher non plus de soupçonner Cocteau d’en avoir
plus
ou moins consciemment concerté la possibilité. Orphée, par exemple, s
66
n lorsqu’il écrivit certains vers qu’on peut lire
plus
haut : Les anges véritables qui connaissent les signes Sont moins bo
67
brillant et définitif restera l’un des titres les
plus
authentiques de Cocteau. Précision et relief du dialogue, ingénieuse
68
raphe des Mariés. Dans Orphée, le mystère ne peut
plus
dépasser l’auteur : il l’a trop bien organisé. En somme, ce qu’il fau
69
n, rapidement entrevue par chacun dans son for le
plus
intérieur, d’une fuite en auto, nous rassure provisoirement… Proso
70
en hurlant : « Bas-toi là, bas-toi là ! »… Est-il
plus
atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis belle et diserte qui
71
lusion. Le film japonais : une historiette un peu
plus
banale que nature, très bien photographiée. C’est le film du type « J
72
nt dans le domaine du merveilleux moderne. Un peu
plus
et nous demandions grâce de trop de plaisir. Mais je ne suis pas sûr
73
st une question d’épuration des moyens. Rendre le
plus
par le moins, c’est le fait d’un art à sa maturité. Mais ce sont là c
74
us frotter les yeux… Peut-être, quand nos regards
plus
assurés sauront enfin gagner de vitesse les prodiges que déclenche Re
75
est emparée de mon être et a saisi les cordes les
plus
secrètes de mon âme, qu’elle peut faire désormais vibrer à sa fantais
76
ats dont les plaidoyers, tissus des mensonges les
plus
beaux et des plus mélodieuses palinodies, font encore rêver les anges
77
oyers, tissus des mensonges les plus beaux et des
plus
mélodieuses palinodies, font encore rêver les anges écœurés d’azur. A
78
oir en esprit. Ces trois mots vous ont délivré du
plus
absurde malaise, et vous rallumez votre cigare. Vous vous êtes assuré
79
s y pénètrent, et le goût de s’amuser ne renaîtra
plus
en eux. Ni même celui de souffrir. Le dernier rire d’Aragon, c’est l’
80
grand Rêve, au matin pâle des édifices, ne quitte
plus
, attiré par les premiers sophismes de l’aurore, ces corniches de crai
81
n présence d’une des tentatives de libération les
plus
violentes et belles — malgré tant de maladresses dédaigneuses, de bra
82
nts, de Ford à Clément Vautel, le matérialisme le
plus
pauvre auquel se soit jamais abaissée une civilisation. Mais nous som
83
t nulle part9 ». Ultime affirmation d’une foi que
plus
rien ne peut duper. Depuis certaines paroles sur la Croix, il n’y a p
84
la Croix, il n’y a peut-être pas eu d’expression
plus
haute de l’angoisse humaine, et vous aurez beau rire, pharisiens, et
85
c’est qu’il lui faut atteindre Dieu ou n’espérer
plus
aucun pardon. II Novembre 1926. Je viens de retrouver quelques
86
jourd’hui, je le verrais plutôt comme un Musset10
plus
véritablement désespéré. Un Musset moins frivole et plus pervers, moi
87
ritablement désespéré. Un Musset moins frivole et
plus
pervers, moins sentimental et plus sensuel, moins spirituel et plus c
88
ins frivole et plus pervers, moins sentimental et
plus
sensuel, moins spirituel et plus cinglant. Au lieu de vin doux, on no
89
s sentimental et plus sensuel, moins spirituel et
plus
cinglant. Au lieu de vin doux, on nous sert des cocktails (un Musset
90
le et chez qui tout est devenu de quelques degrés
plus
violent, plus acerbe, plus profond. En somme, et avant tout, un écriv
91
tout est devenu de quelques degrés plus violent,
plus
acerbe, plus profond. En somme, et avant tout, un écrivain, un bel éc
92
enu de quelques degrés plus violent, plus acerbe,
plus
profond. En somme, et avant tout, un écrivain, un bel écrivain, comme
93
bertinage. Sous une certaine rhétorique — mais la
plus
belle, — ce qui tressaille et m’atteint au vif, c’est tout de même un
94
est sans dérobade possible par sous-entendu. Pas
plus
« ailleurs » que sur ce « globe d’attente » comme dit Crevel. Pourtan
95
globe d’attente » comme dit Crevel. Pourtant, le
plus
irrévocable désespoir n’est encore qu’un appel à la foi la plus haute
96
le désespoir n’est encore qu’un appel à la foi la
plus
haute. 1er mai 1927. Mieux vaut pécher par ridicule que par scepti
97
istiques de librairie montrèrent les ravages bien
plus
étendus qu’on n’osait le craindre11. Si dans un essai sur la sincérit
98
reconduisant :) Croyez, Monsieur, à mon estime la
plus
vive. Mais décidément nous sommes débordés, voyez vous-même, pas moye
99
nne Le temps dont on s’éprenne ! Les œuvres les
plus
significatives de ce siècle sont écrites en haine de l’époque12. Le r
100
la seule réalité. C’est pourquoi nous ne pourrons
plus
séparer du concept de l’esprit celui de Révolution. Et j’entends ce m
101
Révolution. Et j’entends ce mot dans son sens le
plus
vaste. Il y a eu quatre-vingt-treize, la Réforme, Karl Marx, la préfa
102
de conscience toujours ratés — on ne m’y prendra
plus
! — morales américaines et hygiéniques en tous genres, instruction pu
103
synonyme de magnifique perdition dans des choses
plus
grandes que nous. Nous nous connaissions dans les coins et nous mouri
104
mme par hasard nasille : Nous avons tous fait ça
Plus
ou moins, n’est-ce pas ? Et puis l’aiguille divague vers des souveni
105
en, ah ! cette jeunesse, mais voyons des affaires
plus
sérieuses. Et tout est dit. Ah ! c’est vrai, il allait oublier, il y
106
s avec vos chers principes. Révolution, ce n’est
plus
détruire, ce n’est plus combattre, c’est l’épanouissement violent d’u
107
es. Révolution, ce n’est plus détruire, ce n’est
plus
combattre, c’est l’épanouissement violent d’une immense fleur palpita
108
s parlerons vos langues aériennes. On n’acceptera
plus
que des valeurs de passion. Balayez ces douanes de l’esprit, proclame
109
ici déjà s’avancer des prodiges à cette invite la
plus
persuasive : nous sommes prêts à les accueillir. 7. Une vague de r
110
s. Mais oui, c’est paradoxal. 11. Les livres les
plus
répandus à Genève sont Ma vie et mon œuvre de Ford et Mon curé chez l
111
Bordeaux. 12. Proust excepté, et dans un domaine
plus
étroit, quelques esthètes du machinisme. 13. Le Paysan de Paris. o.
112
ofils jusqu’au soleil toujours de face. Il ne vit
plus
que la foule des yeux bleus, son éblouissement. Soudain la voici, ell
113
sse ? Mais tu es si laid que cela me donne encore
plus
de plaisir. » Le duc paya et s’enfuit en disant que ce n’était pas lu
114
le sommeil s’évaporait aux caresses des flocons,
plus
perfides que des murmures d’adieu. Il tomba parmi les statues, dans l
115
et des êtres véritables. Un bateau ne glisse pas
plus
doucement vers le soleil du haut-lac. Justement, voici que tout va s’
116
int la vie. On s’y maintient cinq ans, dix ans au
plus
. Après, c’est un long adieu et le corps se fige à mesure que l’esprit
117
Le goût de la propriété étant à mon sens l’un des
plus
vulgaires et des plus généralement répandus, j’ai vite fait de classe
118
é étant à mon sens l’un des plus vulgaires et des
plus
généralement répandus, j’ai vite fait de classer mon monde d’après le
119
séance l’obligeait à émettre une opinion, même la
plus
générale et la moins compromettante, sur cette vie dont le récit n’av
120
e sont que la traduction en actes de jeux de mots
plus
ou moins cruels… » — Je vous entends, interrompit Saint-Julien, par p
121
uatre kilomètres de plantation, le siècle ne sera
plus
malade, les temps seront guéris de leur crise, les valeurs auront ret
122
tisfait » est un être inadmissible aujourd’hui. À
plus
forte raison, le satisfait artificiel. u. Rougemont Denis de, « Co
123
Mais j’ai tué la littérature en moi, n’en parlez
plus
, j’en sors, je l’abandonne… Mais notre paysan, rusé : — Vous l’abando
124
e l’impossibilité des miracles ! Quelles voluptés
plus
subtiles et plus aiguës ? On vaincra jusqu’à sa gueule de bois pour e
125
des miracles ! Quelles voluptés plus subtiles et
plus
aiguës ? On vaincra jusqu’à sa gueule de bois pour en faire des poème
126
es actions en puissance15. Il faudrait des choses
plus
lourdes et plus irrésistibles, percutantes. Qui vous échappent en vou
127
issance15. Il faudrait des choses plus lourdes et
plus
irrésistibles, percutantes. Qui vous échappent en vous blessant. Des
128
ans l’infini de la seconde. Des peurs sans cause,
plus
vides que la mort. Toutes ces choses mystiques, c’est-à-dire réelles,
129
vrait pas. Je pressens encore dans vos poèmes les
plus
obscurs des allusions furtives à certains états de la réalité. Mais p
130
ons furtives à certains états de la réalité. Mais
plus
les mots se plient à des exigences sémantiques — dont on connaît la p
131
selon les rites d’une esthétique ou d’une autre,
plus
ils perdent leur pouvoir de signifier les choses qui nous importent.
132
ilibre — et dont on tire parfois quelque plaisir,
plus
rarement, de quoi se payer un petit voyage. C’est l’aveu d’une faible
133
ce. (« Connaissance » étant pris avec son sens le
plus
profond, qui est proche du sens biblique. Il ne s’agit pas de la conn
134
e, c’est d’un ridicule écrasant : mais rien n’est
plus
facile que d’y échapper. III Sur l’utilité de la littérature Mo
135
avancer pour légitimer l’activité littéraire, le
plus
satisfaisant, celui qui rend le mieux compte de la réalité, c’est And
136
ittérature vous ferait bientôt renier le signe le
plus
certain par lequel ces « quelques-uns » peuvent encore se reconnaître
137
ore se reconnaître. Quand bien même elle n’aurait
plus
d’autre excuse que celle-là, la littérature mériterait d’exister : qu
138
couvrir quelques êtres par le monde… Il ne s’agit
plus
de mépris ni d’adoration. J’ai défini une « maladie » dont je parvien
139
s soins qu’elle exige me coûteront des sacrifices
plus
grands que les bienfaits que j’en escompte, il sera temps de songer s
140
Le texte publié place également un appel de note
plus
bas dans le paragraphe, après « Narcisse », sans qu’on sache s’il s’a
141
de Morand, et ils en sont tout fiers : « Il n’y a
plus
qu’à les écrire ». v. Rougemont Denis de, « La part du feu. Lettres
142
éçu cette catégorie de lecteurs. Aucun remord non
plus
d’avoir troublé quelques bonnes petites somnolences par des cris inte
143
uis, en voilà assez pour ranimer la curiosité des
plus
blasés. Lecteur, fais confiance au Central de Genève. Souviens-toi de
144
r en religion : rond de cuir ou poète (au sens le
plus
large de ces mots.) (Mais je tiens à le leur dire ici : les anciens b
145
1929)z Prison Prisonnier de la nuit mais
plus
libre qu’un ange prisonnier dans ta tête mais libre comme avant cette
146
ocratie outragée, les autres disaient qu’il n’y a
plus
de morale, et ces jeunes gens ont une façon de trancher les questions
147
re conteur est vêtu de la gloire d’un pourpoint «
plus
rouge que rouge ». On assure qu’il possède encore une harpe et un pia
148
die n’est pas mon fort, même la triste. Je n’aime
plus
que les choses lentement émouvantes, monotones et aiguës, comme la pl
149
visage dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux
plus
vivants…) De là, je le suppose, une certaine misanthropie en germe :
150
u’au sens moral.) Le goût de se perdre est un des
plus
profonds mystères de notre condition, et je ne crois pas trop absurde
151
l’on s’est administrée accapare nos facultés les
plus
vulgaires, libérant par là cette part gratuite de nous-mêmes qui se p
152
édaction s’empresse de faire rentrer la partie la
plus
incongrue de cette chronique. Enfin, un Étranger raconte l’histoire s
153
anger raconte l’histoire suivante qui est une des
plus
belles du monde : Un prince italien ayant commandé à Pergolèse un
154
t dans une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa
plus
belle œuvre, sur le thème des pleurs de la vieille, et mourut comme i
155
rs ces Allemagnes où, tu le sais, la tristesse la
plus
amère invente encore des mélodies sentimentales, un peu bêtes, un peu
156
us les coups d’un Kühnrich à la basse rugissante,
plus
traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de
157
s sauvages. Laquelle des trois filles est donc la
plus
jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas pe
158
es primitifs savent allier à la simplification la
plus
délibérée. Gros évêques et ribaudes, pages farceurs et « mélancolique
159
s si retors, vous verriez bien que je ne suis pas
plus
coquette qu’une autre. Mais les hommes comme vous aiment que les femm
160
ne peut pas nous refuser ; du reste, cela me rend
plus
jolie, quelqu’un me l’a dit hier encore, vous ne saurez pas qui. Lor
161
un profond pédant, dans cinq minutes je ne saurai
plus
même voir s’il fait beau ou s’il fait vilain. Lord Artur. — Je pense
162
nte. Je regrette profondément que vous n’ayez pas
plus
de sens qu’un oiseau. Sonnette, si vous étiez païenne ou si vous étie
163
thode, les dimensions de la Revue n’y suffiraient
plus
— ni la patience du lecteur à mon endroit, je le crains… 1. S’il n’y
164
de l’homme en 1933, assumée dans ses aspects les
plus
scandaleux, les plus quotidiens, les plus angoissants. Le fameux prin
165
assumée dans ses aspects les plus scandaleux, les
plus
quotidiens, les plus angoissants. Le fameux principe du tiers exclu e
166
cts les plus scandaleux, les plus quotidiens, les
plus
angoissants. Le fameux principe du tiers exclu est nié par l’angoisse
167
ons et sachant voir, toujours prêt à l’accueil le
plus
ardent mais aussi le plus utilement critique si vous alliez lui parle
168
urs prêt à l’accueil le plus ardent mais aussi le
plus
utilement critique si vous alliez lui parler d’un projet, d’une œuvre
169
sait d’une belle voix d’amertume : — Nous n’avons
plus
guère de mesures pour les choses divines et humaines, si nous savons
170
prévoient pas que l’assassin d’un noble sera puni
plus
sévèrement que n’eût été ce noble assassinant un serf. Même l’indulge
171
que le barde chante jusqu’à ce qu’il n’en puisse
plus
… Je répondais à mon ami : — À chacun selon sa faim. Heureux ceux qui
172
ner, c’est lui qui vous donnera la joie du chant,
plus
précieuse que l’objet de vos requêtes au roi. — Oui, dit le poète, ma
173
out perdu sauf certains mots ? Ce qui émeut quand
plus
rien n’est là ? Je ne gardais de Hölderlin que des souvenirs d’élans
174
de Einen Helden Oder Die Weisheit... ou parfois,
plus
rarement, une large fin sereine : Und von neuem ein Jahr unserer Se
175
invocations, noms sacrés de l’Ionie — était-elle
plus
pure et plus vraie, plus efficace que le discours lui-même des grands
176
noms sacrés de l’Ionie — était-elle plus pure et
plus
vraie, plus efficace que le discours lui-même des grands Hymnes ? Il
177
de l’Ionie — était-elle plus pure et plus vraie,
plus
efficace que le discours lui-même des grands Hymnes ? Il fallait enfi
178
ns « la transition d’un infini défini à un infini
plus
général », du « pur » au « multiple » et « de l’Esprit au signe », tr
179
nsition qui relève ici, comme chez Hegel, et bien
plus
haut, chez Héraclite et les ioniens, de la dialectique essentielle, c
180
les ruinés d’Athènes, « fierté du monde qui n’est
plus
»27 — le poète se retournera vers sa vallée natale et sa rivière « av
181
Ionie de rêve, où jamais il n’ira, car elle n’est
plus
. Paysages évoqués — non décrits et pour cause — par quelques épithète
182
écrits et pour cause — par quelques épithètes des
plus
générales : belle, jeune, riante, native, sainte — éclatant, verdoyan
183
ncore, ô Dormants délaissés, vous atteindre ! Et,
plus
loin, dans le val qui se tait, près des rocs suspendus de Tempé, Près