1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
1 « Ce n’est pas une phrase, s’écrie-t-il, c’est un poème , un poème du rêve, une fleur du fond de la mort. » Or, on découvre à
2 pas une phrase, s’écrie-t-il, c’est un poème, un poème du rêve, une fleur du fond de la mort. » Or, on découvre à la fin de
3 liés par les surréalistes, donnés à la fois comme poèmes et comme dictées de l’inconscient, au fond desquels on a si vite fait
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
4 anouis des arcs-en-ciel de névroses dans tous les poèmes où détresse rimait avec maîtresse. École savait le mythe du voyage, e
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
5 ts. Au défaut de l’ivresse naissante se glisse un poème où vous aimiez à la folie votre douleur. Narcisse se contemple au mir
6 incra jusqu’à sa gueule de bois pour en faire des poèmes . Alors je cherche les raisons de votre indignation, quand il m’échapp
7 s’en apercevrait pas. Je pressens encore dans vos poèmes les plus obscurs des allusions furtives à certains états de la réalit
4 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
8 dresse une requête au roi, il doit lui chanter un poème . S’il s’adresse à un noble, trois poèmes. Si c’est à un vilain, il fa
9 hanter un poème. S’il s’adresse à un noble, trois poèmes . Si c’est à un vilain, il faut que le barde chante jusqu’à ce qu’il n
5 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
10 splendides (1968)al Qu’est-ce qui persiste du poème qu’un jour ou l’autre nuit nous avons lu puis oublié ? Un « ton fonda
11 ut autre désir auparavant connu de le revivre, ce poème , de le relire en sa mémoire, de le recomposer contre l’oubli comme so
12 erset, ces attaques identiques de deux des grands poèmes de la folie : Nah ist Und schwer zu fassen der Gott21 Reif sind, in
13 émorés, qu’en était-il de la substance des grands poèmes  ? L’émotion rénovée par ces fragments — départs, invocations, noms sa
14 insi de Hölderlin, c’était revenir à la genèse du poème dans l’élan de sa nostalgie fondamentale. D’une poésie dont le mouvem
15 qualifier et activer la nostalgie constitutive du poème  : le Gothard et l’Olympe, Pister, l’Indus, Patmos, et Dodone, et Délo