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à refuser de nous affirmer avec une netteté qui a
pu
paraître parfois quelque peu impertinente. Le fait est que nous éprou
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un… Et, peut-être, la considération du « déluge »
peut
-elle faire réfléchir utilement sur ses causes… Nous ne proposerons
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llettrienne. Que sommes-nous donc ? Le plus qu’on
puisse
dire, c’est que vous le saurez un peu mieux quand vous aurez lu nos h
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u jusqu’à tel jour de notre jeunesse, il faudrait
pouvoir
sauter hors de soi. Seule, une méthode d’observation et de déduction
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d’observation et de déduction passablement sèche
pourrait
nous donner l’illusion et peut-être certains bénéfices de cette opéra
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aussi les moins calculés », écrit Gide. D’où l’on
peut
tirer par une sorte de passage à la limite que les faits justifient :
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plan littéraire avec le plan moral. Telle action
peut
paraître gratuite au lecteur parce qu’il ne sait pas tout sur le pers
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onisme du souvenir. Si l’un de ces deux procédés
peut
m’apprendre quelque chose, c’est bien le second. La qualité des souve
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iens ne me restitue qu’un dégoût. J’ai cru que je
pourrais
me regarder sans rien toucher en moi. En réalité, je n’assiste pas à
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n de moi-même. Par les fissures, un instant, j’ai
pu
soupçonner des profondeurs ; mais déjà c’est le chaos. Mon corps et
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ajoutait que l’homme sincère « en vient à ne plus
pouvoir
même souhaiter d’être différent », ce qui est la négation de tout pro
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ens de son intérêt propre, une analyse sincère ne
puisse
faire découvrir quelques richesses et ne serve parfois de contrôle ef
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morale : défaitisme quand il s’agit de gestes qui
pourraient
entraîner des effets imprévisibles, « réalisme » décourageant, et, bi
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ors impossible de faire rien qui ne soit sincère.
Peut
-on véritablement se mentir à soi-même, et surtout se prendre à ses pr
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avoir toutes les pensées » (Rivière). Mais on ne
peut
se maintenir dans cet état. Ce « mensonge », ce choix faux mais bon,
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reste fort bien les jalons de cette recherche) :
Puissiez
-vous avouer moins de sincérité et montrer plus de style. (Georges Duh
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ant que ma joie — un état de grâce, un amour — ne
pouvait
se satisfaire de telle possession particulière, ne pouvait non plus s
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e satisfaire de telle possession particulière, ne
pouvait
non plus s’imaginer qu’elle en pût être privée. Alors, acquiesçant vi
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ulière, ne pouvait non plus s’imaginer qu’elle en
pût
être privée. Alors, acquiesçant vivement à l’invite que je soupçonnai
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elle y entrera, et, me glissant auprès d’elle, je
pourrai
lui dire très vite quelques mots si bouleversants qu’avant le dernier
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pitait, mais je n’avais pas pris de numéro, je ne
pouvais
pas monter. Je finissais par vous voir partout. Chaque visage de femm
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vait votre démarche. Mais, pendant ce temps, vous
pouviez
paraître enfin où mon désir surmené vous appelait encore, haletant. E
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deux interprétations symboliques au moins ; de ne
pouvoir
m’empêcher d’y songer sans cesse en lisant cette « tragédie » ; de ne
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r sans cesse en lisant cette « tragédie » ; de ne
pouvoir
m’empêcher non plus de soupçonner Cocteau d’en avoir plus ou moins co
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simples dont l’étude charme le psychanalyste. Je
pourrais
poursuivre le jeu. Et puis, il y a aussi des sortes de calembours… A
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à quelqu’un lorsqu’il écrivit certains vers qu’on
peut
lire plus haut : Les anges véritables qui connaissent les signes Son
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hotographe des Mariés. Dans Orphée, le mystère ne
peut
plus dépasser l’auteur : il l’a trop bien organisé. En somme, ce qu’i
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r, il faut faire quelque chose. Nous devons, nous
pouvons
faire quelque chose. Que diable ! nous ne sommes pas des imbéciles, n
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euse paraît, ils n’attendent que le moment où ils
pourront
se pousser en disant : « C’que c’est cochon ! » Mais le moment ne vie
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. » Mais tout de même, là par exemple, où nous ne
pouvons
nous empêcher d’admirer l’utilisation artistique ingénieuse et précis
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alors comme l’une seulement des mille figures que
peut
revêtir une substantia dont nos sens trop faibles — bornés encore par
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les cordes les plus secrètes de mon âme, qu’elle
peut
faire désormais vibrer à sa fantaisie, même si cela doit m’anéantir.
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pointe d’ironie vraiment supérieure. Car rien ne
pouvait
mieux exciter, signe d’aise extrême, vos glandes salivaires, pourtant
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». Ultime affirmation d’une foi que plus rien ne
peut
duper. Depuis certaines paroles sur la Croix, il n’y a peut-être pas
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ion de Dieu, répond Aragon, je me révolte qu’elle
puisse
en aucun cas servir d’argument à un homme. » Voilà qui nous fait oubl
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, n’est-ce pas ? Je ne sais qu’un Montherlant qui
pourrait
l’oser dire comme Aragon sans ridicule. Et ce que je prenais pour le
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art sur cette terre où l’orgueil des hommes croit
pouvoir
nous le désigner, veut nous l’imposer pour quelles fins assez basses,
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… enfin, comment dirais-je… je me suis dit que je
pourrais
, en quelque sorte, vous être de quelque utilité… Moi. — Ah ! oui, ou
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jourd’hui… Quoi ?… Bon, bon, c’est entendu, on ne
peut
rien faire sans vous. Mais n’oubliez pas que « l’artiste serait peu d
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prit est la seule réalité. C’est pourquoi nous ne
pourrons
plus séparer du concept de l’esprit celui de Révolution. Et j’entends
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ction du capitalisme. Est-ce que vraiment vous ne
pouvez
vous libérer de cette manie française, la politique, et ne voyez-vous
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tort, envers et contre toutes les critiques qu’on
pourrait
leur adresser, parce que ces « maudits » ont la grâce, parce qu’ils s
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sans argent. Je ne voulais pas le retenir, Je ne
pouvais
pas le suivre. On dit de ces phrases. Même, on en pleure. q. Roug
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curément pour augmenter ma volupté. Bientôt je ne
pus
me tenir de chantonner. J’entrai dans un établissement luxueux d’où s
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s bien ce que vous me direz : Les millions que je
pourrais
leur soustraire ne compenseront jamais cette escroquerie morale dont
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eule une certaine caresse de l’événement naissant
peut
encore m’émouvoir. C’est un plaisir de chaque minute auquel succède i
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reproche est grave. Je ne saurais y répondre. Je
pourrais
vous dire que si vous me trouvez un peu potache, il n’est pas prouvé
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Je sens aussi bien que vous ce que mes principes
peuvent
avoir de « bien jeune », de banal presque, et, pis, d’agréablement pa
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rd’hui de la simplicité. Littérateur, va ! qui ne
pouvez
pas même admettre que la simplicité est simple simplement. La bouche
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oût du bizarre qui révèle le littérateur. Nous ne
pouvons
pas faire que nous n’ayons rien lu. Vous refusez de compter avec cett
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c’est-à-dire agissantes, que nulle poésie même ne
peut
dire, parce que rien de ce qui nous importe véritablement n’est dicib
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e la publier. Et même, en passant à la limite, on
peut
imaginer que si elle était réalisée, on ne s’en apercevrait pas. Je p
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esthétique ou d’une autre, plus ils perdent leur
pouvoir
de signifier les choses qui nous importent. Vous le savez. Alors vous
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ur excuse dernière. Avouons-le : rien de ce qu’on
peut
exprimer n’a d’importance véritable. Alors, cessons de nous battre co
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tient. Bande de gigolos de la littérature ! Qu’on
puisse
vivre de ça, je ne l’ai pas encore avalé. On m’affirme que je n’y éch
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e pour écrire16. De tous les prétextes que l’on a
pu
avancer pour légitimer l’activité littéraire, le plus satisfaisant, c
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es douloureuses ou grossières de tous ceux qui ne
peuvent
ou ne veulent y voir que révoltes contre leurs morales, ou menaces po
58
e le plus certain par lequel ces « quelques-uns »
peuvent
encore se reconnaître. Quand bien même elle n’aurait plus d’autre exc
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ès belle histoire ». (Et vous verriez à quoi cela
peut
servir, une citation.) Mais non, cher ami, voici qu’une envie me pren
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rement et pour elle-même. Nous regrettons de n’en
pouvoir
citer, faute de place, que ces quelques phrases de Drieu : « On voit
61
e l’autre, on se scandalise des « énormités » qui
peuvent
échapper à un jeune homme moins grave et qui manifeste franchement sa
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pe pas. Deux ou trois mots, on s’est compris. Que
pouvions
-nous espérer d’autre ? Il y eut quelques découvertes qui nous consolè
63
se « Que voulez-vous, je suis bourgeois ! », l’on
peut
se permettre quelques malices, quelques jeux d’esprit ou de méchancet
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omme réduite à deux dimensions ; la conscience ne
pouvait
y tuer un lyrisme quasi inexistant, mais bien y exciter un esprit cri
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mbast et Mlle Monnier sont là. Jacques Chenevière
pourrait
très bien être là, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille
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une réalité si touchante et si naturelle qu’on ne
peut
s’y tromper : la grâce de l’enfance anime encore cette imagination, g
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ette, et vous savez que c’est un plaisir qu’on ne
peut
pas nous refuser ; du reste, cela me rend plus jolie, quelqu’un me l’
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C’est pourquoi vous pensez encore que le bonheur
peut
exister en dehors de la souffrance, et même qu’il est le contraire de
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la Fable, fit Myscille, habitant d’Argos. N’ayant
pu
débrouiller le sens de l’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une v
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olue, en ce sens que tout jugement tenu pour vrai
peut
être modifié ou complété, les conditions de la vérité sont, elles, im
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ns penseurs, à connaître d’une vérité absolue, on
put
se demander si la philosophie n’allait pas démissionner, purement et
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es professeurs de philosophie, à quoi personne ne
peut
songer sérieusement. On trouva des solutions élégantes. D’une part, l
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is quelle « réaction ». Et c’est pourquoi nous ne
pouvons
pas accepter un instant le rapprochement qu’on nous invite à faire en
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é de dogmes « si possible immuables » (p. 14). On
pourrait
dire qu’il fait tout le contraire. Il nous ramène sans cesse à l’état
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humaine) qui est l’état dans lequel la vérité ne
peut
opérer dans notre existence que par un choix, une décision, — un acte
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dissant et en élargissant son horizon de pensée.
Peut
-on dire que notre civilisation soit chrétienne ? Peut-on dire que pou
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-on dire que notre civilisation soit chrétienne ?
Peut
-on dire que pour le chrétien la perspective d’un nouveau progrès, d’u
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demandons passionnément et lourdement ce que cela
peut
bien signifier au concret. Ce que cela veut dire. C’est une des leçon
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? Il me semble qu’alors les invariants chrétiens
pourraient
bien apparaître comme les constantes de déformation de l’Évangile au
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mauté de l’esprit. Peut-être que le seul chrétien
peut
comprendre, existentiellement, que cette exigence de service, cet aba
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il faut que le barde chante jusqu’à ce qu’il n’en
puisse
plus… Je répondais à mon ami : — À chacun selon sa faim. Heureux ceux
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— Oui, dit le poète, mais sans nobles, sans rois,
peut
-il y avoir des vilains ? aj. Rougemont Denis de, « Le Poète et le
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euer getaucht, gekochet22 Invocation du rythme,
pouvoirs
du signe23, tirets qui jalonnent un silence, et ce n’est pas seulemen
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appeler la vie perdue à une vie magnifiée »26, on
peut
bien dire qu’elle naît d’une nostalgie d’elle-même. Hölderlin, lui, d
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tout présent est exil, et toute joie véritable ne
peut
être qu’à venir, — à revenir dans le mythe. Le Neckar sera beau quand