1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 déjà il se préparait à vous rendre attentive à ma présence … Mais, alors, je ne sais quel démon du malheur me paralysa. Je venais
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
2 se retournent brusquement et vous renversent. Des présences tellement intenses que tout se fond catastrophiquement dans l’infini
3 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
3 « bonheur » rien de plus que l’un des noms de sa présence . Mais un jour la lumière est morte autour de nous, elle est morte à l
4 llie, tempêtes sur les pentes, — beau temps de la présence . Car tu sais pour quel « bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu
4 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
5 mais bien d’un ordre, reçu hic et nunc, et d’une présence , qui juge tout. ag. Rougemont Denis de, « Petites notes sur les vé
5 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
6 d. Vraiment, le souvenir d’une influence et d’une présence aussi directes et essentielles doit nous interdire désormais de consi
7 abaissement de la pensée aux choses, cet acte de présence au monde est l’achèvement suprême, et non l’humiliation du spirituel.