1 tée, c’est bien dommage, dit-il en s’étirant ; le printemps désormais rendra le ciel plus pâle, et nous irons chercher dans le so

2 us avais entendue donner un rendez-vous au thé du Printemps . J’ai rôdé dans la joie féminine des grands magasins, n’osant pas rep

3 s (avril 1927)q r La maîtresse d’École Au printemps pur comme une joue, École errait, École suivait une femme dans les ru

4 un fauteuil et un violon, pour qu’il en joue, au printemps , s’il savait … R.S.V.P. À Max-Marc-Jean Jacob Reymond. Une ét

5 nt heureux. Le lendemain était le premier jour du printemps . Les rues riaient. Le ciel descendait dans la ville, on marchait dans

6 s et aiguës, comme la pluie dans les campagnes au printemps . Ou encore : comme la lecture des romans anglais, les loisirs obsédés

7 sur des rayons de soleil… Bravo, Marcel, v’là le printemps  ! ad. Rougemont Denis de, «  Le Grand Testament de Villon, illustr

8 hemin qui va du signe à l’être. Longues pluies de printemps sur la campagne recueillie, tempêtes sur les pentes, — beau temps de