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nçais sur la voie qu’elle m’ouvrait, avec tant de
rires
amis, vers tout ce que momentanément je choisissais de laisser — et d
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ges fous. L’horaire dicte un adieu, La mode qu’on
rie
des pleurs, Lors je baise votre main Comme on signe d’un faux nom.
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xé ; vous disparaissiez au milieu d’un cortège de
rires
empressés. Une autre danse reprenait. Je sentis une invincible lassit
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public fût de même essence que le nôtre. Les gens
rient
à l’enterrement au ralenti, à l’éclatement des têtes de poupées, à la
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de poupées, à la conclusion. Ce n’est pas le bon
rire
de cinéma. Quand la danseuse paraît, ils n’attendent que le moment où
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lus en eux. Ni même celui de souffrir. Le dernier
rire
d’Aragon, c’est l’éclat de sa joie brusque d’être seul sur un faux so
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enfin une solitude défendue de tous côtés par ses
rires
scandaleux, quelques « goujateries » affectées par mépris de l’honneu
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s haute de l’angoisse humaine, et vous aurez beau
rire
, pharisiens, et dire qu’elle est née dans un café de Paris. « Je n’at
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tends rien du monde, je n’attends rien de rien. »
Riez
-en donc, pantins officiels, et vous repus, et vous, dubitatives barbe
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vec un tact exquis, qui fut très remarqué. Le duc
riait
sous une table, complètement ivre, et Bettina lui disait à l’oreille
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main était le premier jour du printemps. Les rues
riaient
. Le ciel descendait dans la ville, on marchait dans le bleu. Je sorti
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Il naissait à son destin des rayons glissent et
rient
c’est la caresse des anges parmi les formes de l’ombre C’était l’au
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vous le beau temps et la pluie ? Est-ce que c’est
rire
et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la tristesse ? Est-ce que