1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 el effort pour créer son âme telle qu’elle est » ( Rivière ), ou encore refus de choisir, volonté de tout conserver en soi ? Ou b
2 inférieurs, en vertu des remarques précédentes). Rivière définissait la sincérité comme « un perpétuel effort pour créer son â
3 constater. F. Raub. La sincérité obstinée d’un Rivière n’a plus rien de spontané. En quoi est-ce encore de la sincérité ? Tr
4 « Être sincère, c’est avoir toutes les pensées » ( Rivière ). Mais on ne peut se maintenir dans cet état. Ce « mensonge », ce cho
5 ndétermination violente qu’est la sincérité selon Rivière . La sincérité véritable vous pousse à faire le saut dans le vide qu’e
2 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
6 e poète se retournera vers sa vallée natale et sa rivière « avec ses prés charmants et les saules des rives ». Neckar imaginé c