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ures et loyales inquiétudes. Sincérité, le mal du
siècle
. Tout le monde en parle, et chacun s’en autorise pour excuser sa peti
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encore un Musset, seulement transposé dans notre
siècle
et chez qui tout est devenu de quelques degrés plus violent, plus ace
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enne ! Les œuvres les plus significatives de ce
siècle
sont écrites en haine de l’époque12. Le reproche d’obscurité que l’on
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lliez le dire — aux surréalistes ? Si le mal du
siècle
consistait véritablement dans ces quelques effets, nous donnerions pe
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rticle du Journal de Genève sur « La maladie du
siècle
», écrit : « Plante des pommes de terre, jeune homme ! Quand tu seras
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ui représente quatre kilomètres de plantation, le
siècle
ne sera plus malade, les temps seront guéris de leur crise, les valeu
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ration intégrale d’une dogmatique appartenant aux
siècles
passés » (p. 14), à propos d’une théologie dont le travail systématiq