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trice. Mais tu m’offrais un visage un peu crispé,
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d’une ironie secrète et pour moi douloureuse encore. Pitoyable, trop
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rie des pleurs, Lors je baise votre main Comme on
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d’un faux nom. d. Rougemont Denis de, « Billets aigres-doux », R
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me trouvais tout près de vous. Mon ami me fit un
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discret, et déjà il se préparait à vous rendre attentive à ma présenc
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haut : Les anges véritables qui connaissent les
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Sont moins bons acrobates… (etc.)… Cocteau s’est trop exercé avant d
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rise dans l’exploration ivre d’un projecteur, des
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fatidiques, le visage d’un ange. n. Rougemont Denis de, « Entr’ac
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nt supérieure. Car rien ne pouvait mieux exciter,
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d’aise extrême, vos glandes salivaires, pourtant si éprouvées par le
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pour la littérature vous ferait bientôt renier le
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le plus certain par lequel ces « quelques-uns » peuvent encore se rec
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uis, de temps à autre, voici que nous parvient un
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d’amitié qui ne trompe pas. Deux ou trois mots, on s’est compris. Que
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’un silence c’est le miroir d’une absence mais le
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de sa grâce Dans l’or vert évanouie au cœur éclatant du jour scinti
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ais peu le savent. Peu savent le chemin qui va du
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à l’être. Longues pluies de printemps sur la campagne recueillie, tem
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aisais pas autre chose que le poète à partir d’un
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, d’un nom, d’une lumière de l’Hellade imaginée. Se souvenir ainsi de
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», du « pur » au « multiple » et « de l’Esprit au
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», transition qui relève ici, comme chez Hegel, et bien plus haut, ch
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»29. Son langage, il le fait de noms sacrés et de
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élus, qualifiés par un « ton fondamental ». C’est une sorte de code i
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03. 23. « Par le fait que (le poète) me nomme ce
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, il emprunte à mon monde sa matière, il me détermine à transférer cet
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l me détermine à transférer cette matière dans le
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», écrit Hölderlin dans son grand essai sur la démarche poétique, au