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les vices enlacés aux vertus, c’est un ricanement
splendide
comme un éclat de rire de condamné à mort et à l’éternité. Le diable
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Hölderlin dans le souvenir des noms
splendides
(1968)al Qu’est-ce qui persiste du poème qu’un jour ou l’autre nui
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tur prochain (« Et à l’aurore… nous entrerons aux
splendides
villes »), Apollinaire hante la marge d’émotion entre le souvenir de
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j’élirai ma demeure à jamais, près de vous, noms
splendides
! 21. Patmos, 1801-1802. 22. Mnemosyne III, 1803. 23. « Par le
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t Denis de, « Hölderlin dans le souvenir des noms
splendides
», Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, 1968,