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par l’inévitable discours sur les difficultés du
temps
, en général, et sur celles en particulier qu’implique la publication
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ons un mythe prendre corps parmi les ruines de ce
temps
. Il fallait bien tirer quelque vertu d’une anarchie dont on ne veut p
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rs certain but précis. Ou bien j’aurais juste le
temps
de le noter avant de partir. Ou bien je me mettrai à l’analyser plus
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e faire mon autoportrait moral : je bouge tout le
temps
. Danger de faire mon autoportrait moral : je me compose plus laid que
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rue et qui avait votre démarche. Mais, pendant ce
temps
, vous pouviez paraître enfin où mon désir surmené vous appelait encor
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sir surmené vous appelait encore, haletant. Et le
temps
passait, à la fois si lent — jusqu’à l’arrivée du prochain métro, du
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mon esprit. Peut-être que j’ai perdu la notion du
temps
. Je ne me souviens plus que de cette déception insupportable et défin
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fois autour d’un feu et le contemplent un certain
temps
en silence. « Well ! », dit enfin Dardel. Les autres n’en pensent pas
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c des surréalistes hétérodoxes. Il revint juste à
temps
pour assister à la cérémonie de la pose du point final de « Cinématom
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e dans une lumière qui la métamorphose ; c’est un
temps
nouveau, et l’espace en relation se modifie pour maintenir je ne sais
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Rougemont. Le Sens Critique. — Il y a un certain
temps
déjà que nous ne nous sommes revus. Mais je suis vos travaux avec int
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x avec intérêt, et il m’a paru que depuis quelque
temps
… enfin, comment dirais-je… je me suis dit que je pourrais, en quelque
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Seulement, mon cher Monsieur, nous n’avons pas le
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ces jours-ci, beaucoup trop à faire, beaucoup trop d’êtres et de chos
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p à la cantonade : Qu’il vienne, qu’il vienne Le
temps
dont on s’éprenne ! Les œuvres les plus significatives de ce siècle
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e de l’Église. (Ici, il but une gorgée et prit un
temps
.) » Je vous fais grâce, poursuivit-il, de la chronique de ma vie de r
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de plantation, le siècle ne sera plus malade, les
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seront guéris de leur crise, les valeurs auront retrouvé leur stabili
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ême un ou deux petits phénomènes sociaux de notre
temps
que cette méthode ne suffirait pas à supprimer. Or, ils nous paraisse
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est ailleurs. L’addition, s’il vous plaît. Il est
temps
de sortir de ce café et de ces jeux, simulacres de vie, qui sont à la
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s importe véritablement n’est dicible. (Depuis le
temps
qu’on sait que la lettre tue ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le
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ettre tue ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le
temps
qu’on l’oublie.) Vous me direz que la poésie, l’état poétique, est no
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signaux de l’angoisse sur quoi se fondent, en ces
temps
, nos amitiés miraculeuses. Voici donc les seules révélations que j’
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ands que les bienfaits que j’en escompte, il sera
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de songer sérieusement à m’en guérir. Vous me demanderez « alors » ce
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et pour en accepter les conséquences. Et puis, de
temps
à autre, voici que nous parvient un signe d’amitié qui ne trompe pas.
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cela manque de chair. Et de rêve. Est-ce qu’en ce
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-là on ne se nourrissait vraiment que de petits mots d’esprit et de ma
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me : les êtres changent trop vite, je n’ai pas le
temps
de me laisser envoûter ou de les rendre esclaves, hors de quoi je ne
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ile au corridor, — à Paris. Bientôt… Mais il est
temps
de mettre à ces fariboles un terme19. J’ai du solide à équarrir. Et a
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imerais lire un peu. Mes auteurs ? Goethe en tout
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; Rodolphe Toepffer (admiré par Goethe) ou Jérôme Cardan (xvie siècl
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érents. C’est pourquoi vous admettez que « beau »
temps
est le contraire de « mauvais » temps, et vous n’avez jamais cherché
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ue « beau » temps est le contraire de « mauvais »
temps
, et vous n’avez jamais cherché ce que doit être le « bon » temps, ni
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n’avez jamais cherché ce que doit être le « bon »
temps
, ni si les tempêtes sont « belles ». C’est pourquoi vous pensez encor
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nt toujours religieux, alors que les femmes de ce
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sont seulement sournoises. Sonnette. — Lord Artur, vous m’amusez bea
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us, aucun n’importe, sinon celui qui dans le même
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se passe à l’intérieur d’un être. Ainsi tout est changé, mais peu le
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Sonnette. — J’aime vos histoires, Lord Artur. (Un
temps
.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, quel temps ferait-il pour
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s.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, quel
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ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau mot : courtisane… Ce n
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donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout
temps
, ont montré du goût pour une certaine continuité, une certaine perman
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e colle de scolastiques ; elle alimentera quelque
temps
encore les jeux de société des congrès de mathématiciens et de logist
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mathématiciens et de logisticiens ; et pendant ce
temps
, c’est à la théologie que nous irons demander de la pensée, c’est-à-d
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ce avait été pour lui dans la distance et dans le
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du rêve. Mais au-delà des accidents remémorés, qu’en était-il de la s
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t d’ubiquité. Éluard ne connaît que l’instant, le
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ponctuel. Mais Hölderlin, ses grands hymnes décrivent toutes les dime
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dimensions de l’absence, de l’éloignement dans le
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, dans l’espace, dans la transcendance, mais d’une absence qui est tou
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ie qui se mue en prophétie ! Hölderlin a créé des
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nouveaux du Verbe qui nous meut et nous oriente : le passé de l’invoc
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us oriente : le passé de l’invocatif28 qui est un
temps
de la prophétie, appelant le retour des dieux morts ou dormants ; l’i
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ts ou dormants ; l’imparfait anticipé, qui est le
temps
du poète voyant ; et le présent d’exil, temps du poète souffrant. Car
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le temps du poète voyant ; et le présent d’exil,
temps
du poète souffrant. Car il nous avertit que son langage n’est pas cel
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e matin de Salamine, et l’Hespérie, « Couchant du
temps
». Sous la Rousse et la Flamboyante, hautes parois de roches nues dom