1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 t. J’ai cru que je pourrais me regarder sans rien toucher en moi. En réalité, je n’assiste pas à moi-même, mais à la destructio
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 igrettes de folies et de joies ; n’allez pas nous toucher , nous sommes dangereux. Un orage de tendresse va crever sur le monde.
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 dans les mêmes boîtes sous les arcades. (Nous ne touchons l’un et l’autre qu’aux traductions ; le reste, les livres de M. Mauro
4 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
4 ut un autre, dit la loi ; et ce respect vulgarisé touche au mépris. De là vient que le meurtrier tantôt est acquitté, tantôt d