1
héâtre. Dans l’ombre, j’ai suivi le drame sur vos
traits
seulement ; l’écho n’en fut que plus douloureux dans mon cœur. Puis j
2
rtout. Chaque visage de femme révélait soudain un
trait
de votre visage. Il aurait fallu courir après celle-là qui venait de
3
familiarité dramatique qui cerne le mystère d’un
trait
pur. Il semble que Cocteau ait réalisé là exactement ce qu’il voulait
4
es corniches de craie où t’accoudant tu mêles tes
traits
purs et labiles à l’immobilité miraculeuse des statues7. » Il s’agit
5
ressemble qu’à sa fantaisie : la précision de son
trait
cerne une poésie ingénue, à la fois drue et délicate comme tout ce qu