1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 précise, cette minute est baignée d’une lueur de tristesse ou de sérénité qui métamorphose le paysage du passé. Ainsi de certain
2 ’il nomme élan mortel — générateur de l’incurable tristesse qui rôde dans certaine littérature d’aujourd’hui. J’ai dit : ravages
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 ive un peu vers ces Allemagnes où, tu le sais, la tristesse la plus amère invente encore des mélodies sentimentales, un peu bêtes
3 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
4 re et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la tristesse  ? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette. — Petite leçon
5 avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou la tristesse . Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vou