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orme… Je ne comprends plus pourquoi je devrais me
tuer
, pourquoi je souffre, ce que c’est que la souffrance, ce que c’est qu
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ais écrivain ? — Hélas ! soupirez-vous. Mais j’ai
tué
la littérature en moi, n’en parlez plus, j’en sors, je l’abandonne… M
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fois — et ce n’est pas que je m’en vante, — j’ai
tué
un amour naissant, à force de le crier sur les toits. Ainsi, parler l
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icible. (Depuis le temps qu’on sait que la lettre
tue
ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le temps qu’on l’oublie.) Vous m
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n de défense. On cherche un mot, une phrase, pour
tuer
une réalité dont la connaissance devient douloureuse et troublante. A
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nt douloureuse et troublante. Ainsi la conscience
tue
la connaissance. (« Connaissance » étant pris avec son sens le plus p
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te à deux dimensions ; la conscience ne pouvait y
tuer
un lyrisme quasi inexistant, mais bien y exciter un esprit critique f
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c’est-à-dire le prix qu’on doit payer quand on le
tue
, est de 126 vaches ; et en cas d’insulte, on lui doit une indemnité d