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ssible de faire rien qui ne soit sincère. Peut-on
véritablement
se mentir à soi-même, et surtout se prendre à ses propres mensonges ?
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ar il n’est peut-être qu’une espèce de souffrance
véritablement
insupportable, c’est celle qu’on tire de soi-même.) Hypocrisie, ce so
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’hui, je le verrais plutôt comme un Musset10 plus
véritablement
désespéré. Un Musset moins frivole et plus pervers, moins sentimental
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x surréalistes ? Si le mal du siècle consistait
véritablement
dans ces quelques effets, nous donnerions peut-être raison à M. Y. Z.
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peut dire, parce que rien de ce qui nous importe
véritablement
n’est dicible. (Depuis le temps qu’on sait que la lettre tue ce qu’el