1 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
1 t le principe. Voyons les faits. La politique, en France , c’est le jeu des partis : tout le monde s’en plaint, mais y joue de
2 cette fois-ci… Il est admis à l’étranger que les Français aiment trop la politique et en font trop. Je pense qu’ils n’en font p
2 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
3 Or, savez-vous ce que dit le texte grec, là où le français traduit « en un instant » ? Il dit en atomo — dans un atome ! Et les
3 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
4 est catholique ! s’écrie scandalisé le protestant français qui assiste à l’un de ces cultes. Mais un de mes amis, argentin, sort
4 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
5 é très rare, peut-être unique dans la littérature française , tout à la fois curieuse et intrépide, il laisse en blanc la solution
5 1949, Réforme, articles (1946–1980). « Êtes-vous partisan du rapprochement franco-allemand ? » (29 janvier 1949)
6 nité des Allemands, aux craintes qu’il éveille en France , à la tentation autarcique en Grande-Bretagne, aux brusqueries ou imp
6 1953, Réforme, articles (1946–1980). « Les écrivains protestants » (11 avril 1953)
7 glais ou hollandais, mais le seul Roger Breuil en France , je me sens protestant non seulement par le hasard d’une origine, mai
8 la Suisse comme destin historique, ou à la langue française comme moyen d’expression. Gênantes sont les données que l’on ne peut
9 e rien ne facilite une « carrière littéraire » en France pour un protestant qui se veut tel et qui, au surplus, n’est pas Fran
10 ant qui se veut tel et qui, au surplus, n’est pas Français (Rousseau et Benjamin Constant vécurent avant le nationalisme). Mais
11 s nuances. À l’isolement relatif du protestant en France , il y a mieux que des compensations sur le plan de la pensée de l’art
7 1968, Réforme, articles (1946–1980). Vers l’Europe des régions ? (30 novembre 1968)
12 nt en désuétude les grands États-nations comme la France , l’Espagne, l’Angle­terre, l’Italie et même l’Allemagne fédérale, afi
13 magne en onzeq Länder et maintenant se dessine en France un grand mouvement qui vient d’être appuyé par de Gaulle pour diviser
14 finira par se mettre d’accord assez vite pour la France sur une dizaine de régions, plus Paris. Notre idée de fédéralistes eu
15 . Il y a à ce sujet une importante littérature en France — qui est le pays le plus concerné par la centralisation, grand nombr
16 grand nombre de jeunes sociologues et économistes français s’étant penchés sur ce problème. L’union mondiale ne sera concevable
8 1976, Réforme, articles (1946–1980). À propos de Concorde (21 février 1976)
17 tous en train de célébrer leur culte des « Ailes françaises  ». Qu’ai-je à faire là ? Dès que j’ouvrirai la bouche, des millions d
18 à dépensés par l’État, donc par les contribuables français et anglais ? Est-ce qu’elles justifieront le risque planétaire que de
9 1979, Réforme, articles (1946–1980). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (19 mai 1979)
19 hets par jour. Ces déchets viennent de Suisse, de France , de la RFA, de Hollande, chaque pays pollue souverainement et s’assur
20 -Ems et Gueldre), à la Regio basiliensis (Suisse, France , RFA), et sur l’arc alpin, aux régions Alpes-Adriatique (Italie, Autr
21 agne, des collectifs comme « Europe-Écologie » en France . s. Rougemont Denis de, « Écologie, régions, Europe fédérée : même
10 1980, Réforme, articles (1946–1980). Les Nations unies des animaux (13 décembre 1980)
22 nz Weber (on se souvient tout particulièrement en France de son action en faveur du site des Baux-de-Provence, que menaçait la