1 ctobre 1946)c Je n’ai pas encore découvert cet autel « au dieu inconnu », que saint Paul admirait à Athènes, mais j’ai tou

2 ux le jour entier, possédant toutes les deux leur autel , leurs stalles de chœur et leur pupitre pour la Bible, d’où pend un r

3 h est méthodiste. Colonne de marbre noir, mais un autel et des retables en gothiques flamboyant, trop dorés. Plus loin, l’égl

4 vitraux livides et plus sulpiciens que nature. L’ autel est dominé par des boiseries sombres, ornées de branches de sapin de

5 vice chanté, la communion reçue à genoux devant l’ autel , vous vous croirez chez les romains, mais vous serez chez les anglica

6 dis que le chœur et le pasteur se tournent vers l’ autel fleuri par M. Smith, en souvenir de ses parents défunts. Ils communie

7 n demi-cercle dans le fond du chœur, séparés de l’ autel par des ogives en bois doré : une véritable miniature de Livres d’Heu