1 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
1 tion. Nous disons qu’il n’y a pas à choisir entre ces deux demi-vérités ou demi-mensonges, de même qu’il n’y a pas à choisi
2 soit. Ce serait sans doute le seul moyen d’amener ces partis à travailler, chacun selon sa méthode, au bien commun ; tandis
2 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
3 à. Le gouvernement américain ayant fait annoncer, ces jours derniers, que des essais de bombe atomique allaient être tentés
4 e non plus n’ose protester bien sérieusement. Car ces essais seront faits « dans un but militaire ». Nous sommes donc dans
5 t, avait voté que l’on arrête les frais ; et tous ces fous ne feraient en somme qu’exécuter la volonté commune… « Viens, do
6 e courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraient compterait les ministères suivants : Bombe et Répr
7 e civile du genre humain. Que va-t-il se passer ? Ces projets échoueront. On en rira. On n’en rira même pas : on les néglig
8 ent que la grande majorité des hommes se refuse à ces évidences. On nous ressasse à longueur de journée qu’elle « n’est pas
3 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
9 eux, dans le New York Times du samedi ? Remontant ces colonnes d’annonces qui tiennent une demi-page du journal, je trouve
10 Pologne. Et cinquante sectes. Approchons-nous de ces églises par l’extérieur : par leur histoire d’abord, puis par l’archi
11 s, la plupart exilés pour cause de religion. Tous ces pionniers étaient d’abord les fanatiques d’une foi, rejetés par l’Eur
12 reflète encore, de nos jours, le jeu complexe de ces apports confessionnels, ceux-ci se confondant d’ailleurs, le plus sou
13 st catholique, italiens, polonais ou irlandais. À ces différences d’origine sont venues s’ajouter, dès le xviiie siècle de
14 Sud et Nord, la plupart des grandes confessions. Ces groupes à leur tour se sont morcelés sur leurs ailes gauche et droite
15 en « libéraux » et « fondamentalistes ». Et plus ces groupuscules étaient restreints, plus la tendance sectaire s’y faisai
16 présentent la grande majorité des protestants. Et ces réunions préalables ouvrent des voies jadis insoupçonnées : presbytér
17 nes), voici le fait qu’il convient de souligner : ces étiquettes ne correspondent nullement à des antagonismes religieux. B
18 ratte-ciel triomphants. On ne m’avait pas dit que ces églises, d’ailleurs immenses pour la plupart, sont vénérées et fréque
19 ées et fréquentées par la moitié des habitants de ces gratte-ciel, qui ne voient d’ailleurs aucun inconvénient à ce qu’un l
20 pas dit non plus que New York possède, en plus de ces églises, la plus grande cathédrale du monde : St-Jean-de-Dieu, édifié
21 branches de sapin de Noël. Et partout, dans tous ces sanctuaires, le même parfum de chêne ciré, de luxe, de dignité, de dé
22 lisé le protestant français qui assiste à l’un de ces cultes. Mais un de mes amis, argentin, sortant de la messe à Saint-Pa
4 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
23 du bonheur, par exemple. Comment imaginer, parmi ces gens « décents », un mystique, un ascète, un grand spirituel, un fou
24 fou de Dieu, un martyr, — un pécheur ! Cependant, ces Américains répètent le Credo chaque dimanche, à haute voix tous ensem
25 arlez du péché, de la grâce et du sacrifice, mais ces mots n’ont plus cours dans la presse, à la radio ni dans les magazine
5 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
26 bsolue. Tous les États-nations qui se sont arrogé ces droits absolus sans devoirs, ont un penchant irrésistible à devenir t
27 des hommes, des idées, et des biens. Pour assurer ces libertés organisées, certaines institutions seront nécessaires. Nous
28 conscience européenne. Par-dessus tout, dominant ces Conseils qui domineraient eux-mêmes les États, nous voulons instituer
6 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
29 te irrépressible et la communion nécessaire, tous ces sujets se ramènent à un seul : l’individu créateur et la société. On
30 nous des témoins, des victimes toutes récentes de ces tortures, nous qui avons pu garder le droit de savoir, le droit de no
31 itation. Elle est d’un Espagnol, et frappe une de ces notes d’éloquence à la fois sèche et profonde qui manquent trop souve
32 ntielles qui leur étaient proposées. Il reste que ces conversations, faites en réalité de monologues successifs, ont fait s
7 1968, Réforme, articles (1946–1980). Vers l’Europe des régions ? (30 novembre 1968)
33 ris. Notre idée de fédéralistes européens est que ces régions définies sur­tout par l’économie, se définissent aussi par la
8 1976, Réforme, articles (1946–1980). À propos de Concorde (21 février 1976)
34 ficieront », si l’on peut dire, que feront-ils de ces heures gagnées ? Est-ce qu’elles vaudront les seize milliards déjà dé
35 point d’armements de plus en plus sophistiqués : ces « retombées » se feront donc sur nos têtes. 5. Indépendamment de ces
36 e feront donc sur nos têtes. 5. Indépendamment de ces arguments, je suis contre Concorde pour deux raisons fondamentales. a
9 1979, Réforme, articles (1946–1980). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (19 mai 1979)
37 le fonctionnement des institutions existantes ». Ces mouvements seraient « soutenus » (entendez : payés) affirme-t-on à l’
38 sont « propres ». Les enseignants ont à présenter ces brochures. Mais si l’un ou l’autre s’avisait de présenter aussi une b
39 mps plus que remèdes efficaces, les titulaires de ces ministères sont les premiers à le reconnaître). Si la croissance de l
40 u Nord 60 millions de tonnes de déchets par jour. Ces déchets viennent de Suisse, de France, de la RFA, de Hollande, chaque
41 nons pas les trois à la fois ; c’est qu’aucune de ces trois virtualités exigeantes ne peut se réaliser seule ; c’est que l’