1
in de notre définition de la politique considérée
comme
la pratique d’un idéal. Il faut qu’on sente cette distance. Cette dif
2
d’être pris pour fin, et ne s’offriront plus que
comme
moyens d’une lutte commune contre les vraies difficultés, celles que
3
, que de gens qui voudraient qu’elle dure encore.
Comme
si l’humanité, au scrutin très secret, avait voté que l’on arrête les
4
on croit parfois distinguer, très bas, très doux,
comme
une voix du rêve, dans les intervalles effrayants de la cacophonie mo
5
Transports planétaires. (Rien que de raisonnable,
comme
vous le voyez. On trouverait mieux, en s’appliquant.) Mais il n’y a q
6
e là. Et votre sens de la mesure peut se rebeller
comme
l’esprit devant la mort… Mais admettons que j’ai exagéré : c’est fata
7
ard. Il est évident que si l’on continue à penser
comme
on pense aujourd’hui, cela finira dans l’explosion totale. Et il est
8
prête pour la mort ? L’humanité, ce sont des gens
comme
vous et moi. Quand vous me dites qu’elle n’est pas prête pour la paix
9
olution interne de cette « poussière de sectes »,
comme
disent les étrangers (scandalisés par une diversité dont ils ignorent
10
’un lieu de culte soit moins haut qu’un building,
comme
une hostie est moins grosse qu’un pain ; ils ne sont pas si enfantins
11
istes de Riverside, l’église du Révérend Fosdick,
comme
chez les anglicans des beaux quartiers, et chez les méthodistes comme
12
cans des beaux quartiers, et chez les méthodistes
comme
chez les luthériens. Les catholiques eux-mêmes, à Saint-Patrick, obse
13
u jour, mais certains mots ne sauraient y passer,
comme
péché, grâce, mort et résurrection ; ou bien vous parlez du péché, de
14
ses. À quoi Kierkegaard répondrait que les masses
comme
telles ne seront jamais chrétiennes, et que la grâce prend les hommes
15
iennes, et que la grâce prend les hommes un à un,
comme
des héros tragiques, au-delà de toutes les aides de la morale et de l
16
avouant (non sans humour) bien des incertitudes,
comme
pour mieux renvoyer à ce qui les transcende, j’en retrouve des marque
17
l nous montre des hommes et des femmes qui vivent
comme
ils le peuvent la vie contemporaine, il les suit de très près, d’une
18
ur inquiétude. Lui se refuse à la nommer pour eux
comme
le font trop de romanciers chrétiens — mais aussi à la nier ou la dén
19
chrétiens — mais aussi à la nier ou la dénaturer
comme
le font tant de romanciers athées. Avec une sorte d’honnêteté très ra
20
lancinante, nostalgique, et finalement heureuse,
comme
exaucée… Il était le meilleur écrivain protestant de nos contemporain
21
paradoxe, que l’utopie peut se définir en général
comme
un système sans avenir. Le plus grand historien de notre temps, Arnol
22
de cette société les éléments que l’on considère
comme
bons, et l’on en compose un système qui serait en équilibre permanent
23
ilibre permanent, à l’abri des menaces grossières
comme
des créations de l’esprit, insensible aux défis toujours renouvelés d
24
, pour tous ses peuples, pour tous ses partis, et
comme
le veut son vrai génie, pour tous les hommes. g. Rougemont Denis
25
otestants » (11 avril 1953)l m Fils de pasteur
comme
les trois sœurs Brontë, Nietzsche, Herman Hesse, Pearl Buck, Curzio M
26
ire que le protestantisme ne saurait me « gêner »
comme
écrivain, ni plus ni moins que n’ont pu le faire mes appartenances à
27
e n’ont pu le faire mes appartenances à la Suisse
comme
destin historique, ou à la langue française comme moyen d’expression.
28
comme destin historique, ou à la langue française
comme
moyen d’expression. Gênantes sont les données que l’on ne peut assume
29
que tombent en désuétude les grands États-nations
comme
la France, l’Espagne, l’Angleterre, l’Italie et même l’Allemagne féd
30
aussi par la culture et quelquefois par l’ethnie
comme
dans le cas de la Bretagne ou de la Catalogne. Le problème numéro un
31
s, conditionnés pendant deux heures, vont me haïr
comme
un seul homme. Et en effet, je n’ai pas fini ma première phrase — mai
32
vriers. Argument proprement scandaleux ! Faut-il,
comme
le demandait un Premier ministre, supprimer toute limitation de vites
33
r. 4. Outre le gain de temps, outre l’emploi — et
comme
pour la guerre du Vietnam, ici encore —, on invoque les « retombées t
34
Concorde pour deux raisons fondamentales. a) Tout
comme
les centrales nucléaires. Concorde est le symbole ou simplement l’ens
35
e confidentielle de l’EDF définit les écologistes
comme
ayant pour but véritable « d’entraver le fonctionnement des instituti
36
crétion d’anticorps Plutôt donc que l’écologie
comme
science, considérons ici le souci écologique, qui s’est manifesté ave
37
mation, ou encore à créer — que l’on peut définir
comme
espace de participation civique, régions assez petites pour permettre
38
italien, parti radical néerlandais, des Alliances
comme
« die Grünen » en RFA, « The Green Alliance » en Grande-Bretagne, des
39
een Alliance » en Grande-Bretagne, des collectifs
comme
« Europe-Écologie » en France. s. Rougemont Denis de, « Écologie, r
40
rquoi nous sommes ici. Les animaux ne parlent pas
comme
nous parlons — avec des mots. Mais ils vivent comme nous la douleur e
41
mme nous parlons — avec des mots. Mais ils vivent
comme
nous la douleur et la joie, la peur et l’amour, la curiosité, avec ce