1 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
1 rs midi. Si vous tombez sur un service chanté, la communion reçue à genoux devant l’autel, vous vous croirez chez les romains, ma
2 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
2 l’opposition entre la révolte irrépressible et la communion nécessaire, tous ces sujets se ramènent à un seul : l’individu créate
3 u’il connaissait et assumait les conditions d’une communion nouvelle entre les hommes. Quelques mots sur ce dernier thème, sur ce
4 sur ce dernier thème, sur ce thème capital de la communion . Il est trop clair qu’aucun de nous ne se risquerait à vous en donner
5 c’est tant mieux ! Car il existe des recettes de communion , et des fois synthétiques, dans ce siècle, et nous savons à quoi elle
6 nt ! Que vaut le bonheur d’un peuple, que vaut sa communion , quand elle est établie par la police au prix d’un homme sur dix dans
7 me sur dix dans les camps sibériens ? Que vaut la communion des neuf qui restent, qui osent à peine se regarder dans les yeux, qu
8 ivons de leurs armes ? Si nous refusons la fausse communion fomentée par la propagande et maintenue par la terreur ? Si nous refu
9 us les insignes, tous les signes extérieurs de la communion  ? Si nous allons même jusqu’à éviter d’en parler — parce que, disons-
10 it historique que voici : c’est que la plus vaste communion jamais instituée dans le monde, la plus profonde et la plus libre dan
11 me, il l’a crié. N’oublions pas que là, le mot de communion a pris son sens, et qu’il le perd en s’éloignant du sacrifice individ
12 tion entre le Créateur et la société. Problème de communion . C’est à celui-ci qu’est consacré le texte de Denis de Rougemont que