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e en même temps que celle du monde ? Il semble qu’
il y ait
là quelque consolation. L’amertume de mourir est aussi faite de l’idé
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nes est devenue si grande, avec notre Progrès, qu’
il y a
bien plus de gens au monde qui souhaitent d’en finir avec la vie, que
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scientistes, baptistes, moraves, disciples. Mais
il y a
aussi, qui n’annoncent pas leurs cultes : les luthériens de Finlande
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48)f Il était venu passer une soirée chez moi,
il y a
quelques semaines, car nous avions parlé d’une pièce que nous comptio
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urope, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)g
Il y a
l’utopie de l’Europe, et il y a l’aventure de l’Europe. Cette distinc
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1er mai 1948)g Il y a l’utopie de l’Europe, et
il y a
l’aventure de l’Europe. Cette distinction fondamentale correspond à d
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s. À l’isolement relatif du protestant en France,
il y a
mieux que des compensations sur le plan de la pensée de l’art et d’un
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tème des régions paraissait parfaitement utopique
il y a
un an ou deux, voire jusqu’au moment où de Gaulle a annoncé sa décisi
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remplacer par une assemblée élue par les régions.
Il y a
à ce sujet une importante littérature en France — qui est le pays le
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ar l’État-nation qui a peur qu’elles le divisent,
il y a
des exigences écologiques continentales, également niées, refusées ou
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réciser le sens que nous donnons au mot région. —
Il y a
des régions ethniques qui ne correspondent à aucun État aujourd’hui e
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dont la cause paraît la plus facile à défendre. —
Il y a
les régions transfrontières ; deux douzaines environ sur la carte qu’
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Suisse-France) et Alpazur (France-Italie). — Mais
il y a
surtout les régions — déjà existantes, en formation, ou encore à crée