1 1976, Réforme, articles (1946–1980). À propos de Concorde (21 février 1976)
1 la seule alternative qu’elle offre au gaspillage industriel , à la pollution de l’atmosphère, voire à la guerre, c’est le chômage,
2 1979, Réforme, articles (1946–1980). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (19 mai 1979)
2 au moment où se développent à la fois l’agression industrielle contre la Nature et l’agression étatique contre la société coutumière
3 fense (peut-être de rejet) face à la civilisation industrielle et à ses agressions de plus en plus brutales contre la Nature et cont
4 . C’est le souci des premiers atteints par le mal industriel , qu’ils ont d’ailleurs inventé. C’est le souci de ceux qui ont déchaî
5 i lié que soit leur sort à celui de la croissance industrielle — se sont vus contraints de créer des ministères de l’Environnement (
6 reconnaître). Si la croissance de la civilisation industrielle correspond exactement au développement du cancer, le souci écologique
7 régionales… Mais en même temps que l’agression industrielle se formait en Europe l’État-nation, l’un aidant l’autre. L’exercice d
8 re leur « horizon indépassable ». La civilisation industrielle , d’essence cartésienne, a voulu se développer sur une tabula rasa — q
9 n résultant, sur trois continents, du « progrès » industriel , du « développement ». De même l’État-nation est né de la volonté d’u
10 ales ou ethniques. La réaction contre l’agression industrielle s’appelle écologie. La réaction contre l’agression stato-nationale s’