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s, si totalement perdues de vue dans la lutte que
leur
rappel paraîtra subversif. Une politique digne du nom devrait se comp
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s partis, une fois que ceux-ci se seront remis de
leur
crise de fièvre électorale. Comment sauver les partis Car il ne
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is ni en sortir, mais il faut, malgré eux et dans
leur
sein, rapporter nos jugements à une notion totale de l’homme d’une pa
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is il faut exiger qu’ils déclarent enfin quel est
leur
idéal de l’homme, si c’est le requin, ou le robot, ou la personne ; s
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ire elle le trahit. Ils seront à même d’exiger de
leur
parti la démonstration convaincante que les mesures qu’il préconise s
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e tous les problèmes presque aussi insolubles que
leurs
« principes » se veulent incompatibles. Mais, au surplus, notre attit
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si les Hollandais viennent de lui accorder 30 de
leurs
suffrages, à sa première présentation devant le corps électoral, c’es
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rps électoral, c’est qu’il a fait en une année de
leur
pays, le grand gagnant européen de la course à la reconstruction.
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derniers fourniraient ainsi la preuve par neuf de
leurs
bonnes intentions. 2° Donner la Bombe au gouvernement mondial, pour f
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ons que les armées retiennent une bonne partie de
leur
utilité au service des nations et de leur vertu d’ordre. Admettons qu
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rtie de leur utilité au service des nations et de
leur
vertu d’ordre. Admettons qu’elles arrivent encore à se battre. Admett
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, selon l’axiome des militaires, sans oublier que
leur
expérience démontre qu’on ne pare jamais qu’un certain pourcentage de
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disciples. Mais il y a aussi, qui n’annoncent pas
leurs
cultes : les luthériens de Finlande et de Suède, les orthodoxes serbe
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rochons-nous de ces églises par l’extérieur : par
leur
histoire d’abord, puis par l’architecture de leurs sanctuaires, enfin
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leur histoire d’abord, puis par l’architecture de
leurs
sanctuaires, enfin par le spectacle de leurs cultes. Séparations et
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e de leurs sanctuaires, enfin par le spectacle de
leurs
cultes. Séparations et réunions Les États-Unis ont été fondés pa
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aient chercher en Amérique la liberté de célébrer
leur
culte. Ils y trouvèrent aussi la possibilité de fonder des cités idéa
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sibilité de fonder des cités idéales, conformes à
leurs
doctrines morales et politiques. D’où le caractère social très accent
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tère social très accentué que pris, dès le début,
leur
vie religieuse ; d’où aussi, le caractère religieux de leur civisme.
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eligieuse ; d’où aussi, le caractère religieux de
leur
civisme. La structure politique des États-Unis reflète encore, de nos
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la plupart des grandes confessions. Ces groupes à
leur
tour se sont morcelés sur leurs ailes gauche et droite, en « libéraux
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ons. Ces groupes à leur tour se sont morcelés sur
leurs
ailes gauche et droite, en « libéraux » et « fondamentalistes ». Et p
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sse qu’un pain ; ils ne sont pas si enfantins que
leurs
critiques. On ne m’avait pas dit non plus que New York possède, en pl
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es deux le jour entier, possédant toutes les deux
leur
autel, leurs stalles de chœur et leur pupitre pour la Bible, d’où pen
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our entier, possédant toutes les deux leur autel,
leurs
stalles de chœur et leur pupitre pour la Bible, d’où pend un ruban la
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es les deux leur autel, leurs stalles de chœur et
leur
pupitre pour la Bible, d’où pend un ruban large à la couleur de la sa
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t des principaux rites occidentaux, dépouillés de
leur
patine, reconstitués, discrètement archéologiques. Le peuple américai
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es sièges libres ou dépourvus de plaque au nom de
leur
propriétaire. Déjà le chœur fait son entrée, en robes noires, surplis
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nets, suivi de pasteurs chamarrés des insignes de
leur
grade académique, longs capuchons rouges, jaunes, bleus ou violets, a
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arence, plus proches aussi les uns des autres par
leurs
rites, coutumes et décors, comment les chrétiens d’Amérique conçoiven
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chrétiens d’Amérique conçoivent-ils et vivent-ils
leurs
croyances ? J’essaierai, dans un prochain article, de rassembler les
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église ou des pasteurs, plus dynamiques au nom de
leur
Bible qu’un démagogue au nom des droits du peuple. Pendant trois sièc
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pasteurs y tenaient une fonction directrice. Elle
leur
est disputée de nos jours par la science vulgarisée, les commentateur
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ma et les comités. Mais ils en ont gardé le pli :
leur
christianisme est avant tout une force sociale, un moyen d’assurer un
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aroisses sont devenues des clubs. Elles offrent à
leurs
membres des relations sociales, des banquets, des jeux de loto, des c
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beaucoup de dames avides de donner libre cours à
leur
fameuse efficiency. Sa fonction principale sera donc de parler, et ce
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ède une valeur religieuse, est la religion même à
leurs
yeux. Ce qui implique que le christianisme est la meilleure manière d
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généreux que les Européens, plus indulgents dans
leurs
jugements, moins menteurs et plus accueillants… Mais n’allez pas leur
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s menteurs et plus accueillants… Mais n’allez pas
leur
poser trop de questions sur le sens symbolique de leurs cérémonies, s
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poser trop de questions sur le sens symbolique de
leurs
cérémonies, sur le péché, la grâce, la transcendance, que sais-je. Le
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nt sourdement, mais ne savent pas toujours nommer
leur
inquiétude. Lui se refuse à la nommer pour eux comme le font trop de
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tats-nations tels qu’ils sont, tenter de coaliser
leurs
souverainetés pour lutter contre les empires, ce serait vouloir coali
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le laisser limiter, et c’est pourtant ce que nous
leur
demandons. Tous les gouvernements ont un penchant marqué à persévérer
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rnements ont un penchant marqué à persévérer dans
leur
être, et même à lui survivre aussi longtemps que possible avec l’appu
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ble à devenir totalitaires. Et ce n’est point que
leurs
hommes d’État soient particulièrement bêtes ou méchants, mais leur fo
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t soient particulièrement bêtes ou méchants, mais
leur
fonction leur interdit de céder un pouce, et dans l’état présent de l
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culièrement bêtes ou méchants, mais leur fonction
leur
interdit de céder un pouce, et dans l’état présent de l’opinion et de
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plupart d’entre eux désirent, ne peuvent pas être
leur
affaire, pour des raisons absurdes, mais techniques. Il faut donc les
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ard, parlant au nom des gouvernants, et décrivant
leur
situation embarrassée, le Premier ministre belge, Monsieur Spaak, s’é
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pour émigrer plus tard sur des terres vierges, où
leurs
excès sont manifestes et menaçants, car leur conflit se déclare sans
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où leurs excès sont manifestes et menaçants, car
leur
conflit se déclare sans issue, l’Europe se doit, et doit au monde d’i
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directe ou non des dictatures et des arguments de
leurs
complices. Elle a protesté au double sens du mot, qui est à la fois r
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à la discipline totalitaire un front commun, et à
leur
propagande une propagande au moins aussi brutale ou insinuante. Au co
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au défi des totalitaires, si nous nous privons de
leurs
armes ? Si nous refusons la fausse communion fomentée par la propagan
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s passaient à côté des questions essentielles qui
leur
étaient proposées. Il reste que ces conversations, faites en réalité
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uation tient au fait que les États veulent garder
leur
souveraineté absolue, devenant ainsi eux-mêmes l’obstacle à toute esp
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ront de proche en proche un tissu plus solide que
leurs
liens avec les États-nations ; ceux-ci peu à peu tomberont en désuétu
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technocrates, ils sont tous en train de célébrer
leur
culte des « Ailes françaises ». Qu’ai-je à faire là ? Dès que j’ouvri
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est si précieuse, sont à tel point suroccupés, on
leur
rendrait meilleur service en leur faisant « perdre » quelques heures
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suroccupés, on leur rendrait meilleur service en
leur
faisant « perdre » quelques heures supplémentaires au-dessus des merv
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ent (outre 20 % sur le prix du billet, et x % sur
leurs
impôts) le temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres p
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, désignant les « rapports des êtres vivants avec
leur
milieu naturel. » « Écologie » va reparaître après la Deuxième Guerre
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rnements de nos États nationaux — si lié que soit
leur
sort à celui de la croissance industrielle — se sont vus contraints d
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t-à-dire finalement la guerre, est au principe de
leurs
développements concomitants, et demeure leur « horizon indépassable »
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de leurs développements concomitants, et demeure
leur
« horizon indépassable ». La civilisation industrielle, d’essence car
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e la volonté d’uniformiser les humains, d’écraser
leurs
différences ethniques, culturelles, coutumières, de régler et de cont
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’État, de l’économie et des activités culturelles
leur
paraît la condition même d’une renaissance civique, économique et cul
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renaissance civique, économique et culturelle de
leur
pays. À part les guerres d’agression et les centrales nucléaires, qui
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(neighborhoods) commencent à retrouver le sens de
leur
autonomie, à reprendre en main leurs destins.2 » Il est faux que le p
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er le sens de leur autonomie, à reprendre en main
leurs
destins.2 » Il est faux que le plus grand soit le plus efficace. E. F
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faut donc parler pour eux. Parler pour eux, et de
leur
part, aux hommes qui les méprisent, les torturent, les massacrent, qu
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s proches d’ici, des petits veaux engraissés dans
leur
cuve en ciment, nourris au tube de caoutchouc et à la seringue, qui m
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nesco des animaux ! Car les mots que nous pouvons
leur
apprendre n’expriment rien de leur être et de leurs émotions : ce son
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e nous pouvons leur apprendre n’expriment rien de
leur
être et de leurs émotions : ce sont des ordres que nous leur donnons,
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eur apprendre n’expriment rien de leur être et de
leurs
émotions : ce sont des ordres que nous leur donnons, et leurs réponse
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t de leurs émotions : ce sont des ordres que nous
leur
donnons, et leurs réponses disent « À vos ordres ! » et rien de plus.
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ns : ce sont des ordres que nous leur donnons, et
leurs
réponses disent « À vos ordres ! » et rien de plus. Nous les conditio
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eligions de l’Asie approchent ce même mystère par
leur
croyance aux réincarnations et leur respect absolu de la vie sous tou
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e mystère par leur croyance aux réincarnations et
leur
respect absolu de la vie sous toutes ses formes. Ici encore, nous le