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e et de la droite. Nous voulons l’homme à la fois
libre
et engagé, au nom d’une seule et même réalité que nous nommons la voc
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condamner tout ce qui, dans le régime capitaliste
libre
, frustre le prolétaire de sa chance d’homme, et l’empêche de réaliser
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ilemme de la droite et de la gauche : concurrence
libre
ou étatisation. Nous disons qu’il n’y a pas à choisir entre ces deux
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et quelles sont celles qu’il faut aider à rester
libres
. Cela ne doit pas être une querelle de partis, mais une question prat
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même de l’homme, ce composé d’automatismes et de
libres
pulsions, créatrices, de « gauche » et de « droite », ou si l’on veut
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mme, axée sur la réalité de la personne à la fois
libre
et engagée : on ne manquera pas de dire que c’est vague et arbitraire