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» expliquent seules la contradiction. Je ne vois
pas
qu’elles la justifient.) Cette politique tourne à vide, dans un grand
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itique et en font trop. Je pense qu’ils n’en font
pas
assez, car le jeu des partis n’est pas de la politique. C’est une man
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n’en font pas assez, car le jeu des partis n’est
pas
de la politique. C’est une manière d’esquiver les problèmes en délégu
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Comment sauver les partis Car il ne s’agit
pas
de dissoudre les partis, groupements inévitables d’intérêts de tous o
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l’homme et bâtir une cité à sa mesure. Il ne faut
pas
dissoudre les partis ni en sortir, mais il faut, malgré eux et dans l
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mais laissent le peuple sous-alimenté. Il ne faut
pas
dissoudre les partis ni en sortir, bien au contraire. Mais il faut ex
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hine d’État qui dicte les pensées. Ou si ce n’est
pas
plutôt l’homme responsable d’une vocation qui le distingue, mais auss
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nce libre ou étatisation. Nous disons qu’il n’y a
pas
à choisir entre ces deux demi-vérités ou demi-mensonges, de même qu’i
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mi-vérités ou demi-mensonges, de même qu’il n’y a
pas
à choisir entre la vérité du foie et celle du cœur, ni davantage entr
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voulons la santé, qui est un équilibre, — et non
pas
l’exclusion de la moitié des organes. Nous voulons l’homme entier et
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es qu’il faut aider à rester libres. Cela ne doit
pas
être une querelle de partis, mais une question pratique d’aménagement
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vendu, que la jeunesse retrouve l’espoir, et non
pas
que tel parti prenne le pouvoir au nom d’une idéologie confectionnée
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e et d’une certaine vision totale de l’homme, non
pas
de la tactique particulière et cyniquement électorale d’un parti. Bre
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sonne à la fois libre et engagée : on ne manquera
pas
de dire que c’est vague et arbitraire, parce que ce n’est pas élector
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que c’est vague et arbitraire, parce que ce n’est
pas
électoral. Et, en effet, ce n’est pas électoral, dans ce sens qu’une
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ue ce n’est pas électoral. Et, en effet, ce n’est
pas
électoral, dans ce sens qu’une telle politique peut être pratiquée au
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des plus remarquables qui, d’ailleurs, n’en fait
pas
de secret, bien au contraire. Voilà. Le gouvernement américain ayant
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Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons
pas
tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil,
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, douce mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce
pas
le soupir enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très
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nts de la cacophonie mondiale ? Je ne vous en dis
pas
plus ce soir. Demain, Noël. II — La Paix ou la Mort Princeton,
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projets échoueront. On en rira. On n’en rira même
pas
: on les négligera simplement. On passera aux affaires courantes : éq
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: équilibrer les budgets de guerre, etc. Ce n’est
pas
qu’une angoisse diffuse ne soit sensible dans les populations et chez
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es volontés. Vous-même, je le sens, je ne vous ai
pas
convaincue. Vous pensez que j’ai exagéré. Vous pensez que j’ai cédé a
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autorisés ne l’affirment. Admettons qu’il n’y ait
pas
de raz de marée, ni d’autres accidents d’ampleur continentale. Admett
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z longtemps. Les choses ne se passeront peut-être
pas
de la manière soudaine et dramatique qu’un certain goût de l’antithès
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m’incline parfois à souhaiter. La tragédie n’aura
pas
de lignes pures, parce que nos choix ne sont pas si francs et que nos
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pas de lignes pures, parce que nos choix ne sont
pas
si francs et que nos chefs savent à peine ce qu’ils jouent. Une espèc
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us ressasse à longueur de journée qu’elle « n’est
pas
prête pour un gouvernement mondial ». Est-ce qu’on lui demande si ell
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me vous et moi. Quand vous me dites qu’elle n’est
pas
prête pour la paix, cela veut dire que vous d’abord, vous refusez de
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pessimisme actif. Et comment ne m’y tiendrais-je
pas
, quand je sais que l’enjeu n’est point de ceux que la défaite, mais l
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du : « Le matin vient et la nuit aussi ». Je n’ai
pas
fini d’aimer ce cri. Les citations de la Bible vous irritent. Et vous
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Églises de New York (12 octobre 1946)c Je n’ai
pas
encore découvert cet autel « au dieu inconnu », que saint Paul admira
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es, disciples. Mais il y a aussi, qui n’annoncent
pas
leurs cultes : les luthériens de Finlande et de Suède, les orthodoxes
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entre des gratte-ciel triomphants. On ne m’avait
pas
dit que ces églises, d’ailleurs immenses pour la plupart, sont vénéré
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hostie est moins grosse qu’un pain ; ils ne sont
pas
si enfantins que leurs critiques. On ne m’avait pas dit non plus que
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s si enfantins que leurs critiques. On ne m’avait
pas
dit non plus que New York possède, en plus de ces églises, la plus gr
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ls nulle société n’est possible. Il ne s’agissait
pas
de « moralisme » (les ismes n’apparaissaient qu’une fois le combat ro
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ction principale sera donc de parler, et ce n’est
pas
le dimanche qu’il parlera le plus, car son sermon ne dépasse pas ving
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qu’il parlera le plus, car son sermon ne dépasse
pas
vingt minutes : une leçon de civisme ou de morale, incitant les fidèl
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moins menteurs et plus accueillants… Mais n’allez
pas
leur poser trop de questions sur le sens symbolique de leurs cérémoni
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a fait bien, et c’est « traditionnel ». Ils n’ont
pas
le sens proprement « religieux » des correspondances et des signes. Q
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: il ne m’y parle que de notre projet, et je n’ai
pas
encore répondu. Il est difficile de comprendre que ce qui était tourn
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rai. Subitement je comprends que Roger Breuil n’a
pas
cessé de représenter pour moi l’inquiétude de la vocation, son chemin
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’abstenir d’y répondre parce que la réponse n’est
pas
la nôtre ; cet effacement de l’individu, avouant (non sans humour) bi
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d. Certains ne signifient rien et ne s’en doutent
pas
: certains s’en doutent, et s’inquiètent sourdement, mais ne savent p
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utent, et s’inquiètent sourdement, mais ne savent
pas
toujours nommer leur inquiétude. Lui se refuse à la nommer pour eux c
47
se en blanc la solution que ses personnages n’ont
pas
trouvée, il laisse agir en nous l’obscure question dont ils étaient l
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Une sainte alliance de nos microbes ne me paraît
pas
le moyen de sauver notre santé. Une sainte alliance des souverainetés
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souverainetés dont nous mourons ne nous rendrait
pas
davantage la vie. Nos frontières, nos cordons douaniers, suffisent à
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empêcher nos biens de circuler, mais n’arrêteront
pas
les armées. Je dis donc que vouloir l’union de l’Europe sans rien cha
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écrire, et que le sort de l’aventure réelle n’est
pas
ailleurs que dans nos mains : nous, l’opinion, les citoyens de l’Euro
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Sur qui d’autre peut-elle compter ? Elle ne doit
pas
compter sur les gens au pouvoir. J’en connais peu qui aient l’intenti
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, que la plupart d’entre eux désirent, ne peuvent
pas
être leur affaire, pour des raisons absurdes, mais techniques. Il fau
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nous courons. Et il est clair que son enjeu n’est
pas
d’abord notre sécurité, n’est pas d’abord notre prospérité, bien que
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son enjeu n’est pas d’abord notre sécurité, n’est
pas
d’abord notre prospérité, bien que l’une et l’autre en dépendent, mai
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c’est-à-dire à une institution dont la fin n’est
pas
la puissance, ni le maintien par la police d’une certaine idéologie,
57
s amis américains la certitude que nous ne sommes
pas
ce qu’ils ont parfois presque raison de croire que nous sommes : des
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itable troisième force, au plan mondial, ce n’est
pas
je ne sais quel groupement de double négation et de demi-mesures, c’e
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xiste certes des problèmes franco-allemands, mais
pas
de solution franco-allemande. La seule solution est l’Europe. Une exp
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s, datant de l’époque des pantalons rouges et non
pas
de l’occupation. h. Rougemont Denis de, « [Réponse à une enquête]
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ons-nous conclure ? Je pense qu’il ne se trouvera
pas
un seul d’entre tous ceux qui sont ici présents, poètes, romanciers,
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adhésion qu’elle implique, s’est faite autour non
pas
d’une idée, d’une doctrine, d’un système de valeurs ni même d’une cau
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andonné de Dieu lui-même, il l’a crié. N’oublions
pas
que là, le mot de communion a pris son sens, et qu’il le perd en s’él
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testant qui se veut tel et qui, au surplus, n’est
pas
Français (Rousseau et Benjamin Constant vécurent avant le nationalism
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a littérature mondiale, depuis un siècle, ne doit
pas
moins aux protestants qu’aux catholiques, aux orthodoxes, aux incroya
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entre unité et union. L’unité existe ou n’existe
pas
. L’union est ce que l’on peut bâtir. Non pas une uniformité mais un c
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iste pas. L’union est ce que l’on peut bâtir. Non
pas
une uniformité mais un certain mode de contacts organisés. Cette base
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c’est l’union. Si l’union de l’Europe ne se fait
pas
, nous serons colonisés par le dollar et peut-être par une certaine id
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ncé par refuser : dix minutes de parole ne valent
pas
le voyage, je ne suis pas technicien, et surtout « je suis contre »…
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tes de parole ne valent pas le voyage, je ne suis
pas
technicien, et surtout « je suis contre »… — « Qu’à cela ne tienne, m
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me haïr comme un seul homme. Et en effet, je n’ai
pas
fini ma première phrase — mais c’est assez pour qu’on sente que je su
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elques-uns. Étrange pari. Moi, je ne le tiendrais
pas
… 2. Si les clients prévus, dont l’heure est si précieuse, sont à tel
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radicalement. Car l’humain s’y voit sacrifié non
pas
même au profit (ici très négatif) mais à la puissance physique de l’É
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En ce point, l’on s’aperçoit que l’écologie n’est
pas
jugée sur son mérite, mais sur les visées politiques qu’elle est cens
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i, sans l’aide desquelles la guerre de 1914 n’eût
pas
été concevable. Développements presque aussitôt suivis par l’agressio
76
ue la famille peut faire, la municipalité ne doit
pas
le faire. Ce que la municipalité peut faire, les États ne doivent pas
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la municipalité peut faire, les États ne doivent
pas
le faire. Et ce que les États peuvent faire, le gouvernement fédéral
78
ts peuvent faire, le gouvernement fédéral ne doit
pas
le faire. Dans le même sens se prononcent aujourd’hui la plupart des
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lus qu’à l’échelle régionale ou continentale, non
pas
à l’échelle nationale ; — Alors il devient évident que les organisati
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mot sur le titre-slogan que je propose. Il ne dit
pas
: même combat, mais bien même avenir. Un combat peut être perdu et c’
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ni régions, ni Europe fédérée, si nous n’obtenons
pas
les trois à la fois ; c’est qu’aucune de ces trois virtualités exigea
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aide des États-Unis et de l’Europe ne serait-elle
pas
un premier phénomène de rejet de la technologie rationaliste et du ma
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x (13 décembre 1980)t u Les animaux ne parlent
pas
, et c’est pourquoi nous sommes ici. Les animaux ne parlent pas comme
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pourquoi nous sommes ici. Les animaux ne parlent
pas
comme nous parlons — avec des mots. Mais ils vivent comme nous la dou
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lus. Nous les conditionnons, nous ne communiquons
pas
! Communiquer avec le monde des animaux relève du sentiment, de l’int
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ntellect, celle de l’amitié, de la confiance, non
pas
celle des missiles nucléaires, du chômage et de la destruction irréve
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té de l’homme devant la Nature et les bêtes n’est
pas
seulement métaphorique et poétique : elle est tout à la fois matériel
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e dans les douleurs de l’enfantement. Et ce n’est
pas
elle seulement, mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit,