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usiness et des grands syndicats : on n’y joue que
pour
de l’argent. Ailleurs, c’est le jeu sans partenaire du parti unique a
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à la révolte effective. Et qu’alors on fasse tout
pour
la réduire, en se rapprochant, d’un seul et même mouvement, de l’idéa
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se perd dans des arguties doctrinales. Elle avait
pour
mission très simple de relier le but et ses moyens. En fait, elle les
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et rien n’en sort. Cette machine ne vit plus que
pour
elle-même et sur elle-même. Elle coûte cher et n’arrange rien. Au lie
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nt entre trois idéaux de l’homme ? Et votera-t-on
pour
telle mesure précise jugée conforme à ce qu’on attend de l’homme ? Po
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. Le malheur serait que les électeurs, ayant voté
pour
un parti, se figurent avoir fait de la politique. Car celle-ci ne com
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quand ils cesseront de se prendre ou d’être pris
pour
fin, et ne s’offriront plus que comme moyens d’une lutte commune cont
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retrouve chaque matin. Déclarons nos valeurs,
pour
commencer Nous défendons ici une conception de l’homme qui déborde
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réaliser sa tâche unique, mais en même temps, et
pour
la même raison, cet homme-là devient responsable vis-à-vis de la comm
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nous venons de développer. Il est sorti des camps
pour
prendre le pouvoir. Et si les Hollandais viennent de lui accorder 30
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ention de jeter une bombe sur la calotte polaire,
pour
voir ce que cela donnerait, le même savant lui a écrit aussitôt que,
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e comique, à propos de la fin du monde. Car c’est
pour
protéger la paix et pour faire régner l’ordre universel que nous allo
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fin du monde. Car c’est pour protéger la paix et
pour
faire régner l’ordre universel que nous allons courir le risque d’ino
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ions. 2° Donner la Bombe au gouvernement mondial,
pour
faire la police des nations. Deux chambres universelles seraient élue
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e à longueur de journée qu’elle « n’est pas prête
pour
un gouvernement mondial ». Est-ce qu’on lui demande si elle est prête
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ial ». Est-ce qu’on lui demande si elle est prête
pour
la mort ? L’humanité, ce sont des gens comme vous et moi. Quand vous
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moi. Quand vous me dites qu’elle n’est pas prête
pour
la paix, cela veut dire que vous d’abord, vous refusez de faire le ch
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efusant de choisir la paix, vous votez tacitement
pour
la mort, et vous en rendez responsable. Tout tient à chacun de nous.
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cher. Nos alibis ne trompent plus que nous-mêmes.
Pour
moi, je poursuivrai ma lutte, quoi qu’il arrive. C’est ma santé. Dès
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s groupes successifs de colons, la plupart exilés
pour
cause de religion. Tous ces pionniers étaient d’abord les fanatiques
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nationale. C’est au xixe siècle qu’elle a sévi,
pour
des raisons politiques ou géographiques au moins autant que doctrinal
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iversité dont ils ignorent les origines valables,
pour
la plupart européennes), voici le fait qu’il convient de souligner :
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vait pas dit que ces églises, d’ailleurs immenses
pour
la plupart, sont vénérées et fréquentées par la moitié des habitants
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eur autel, leurs stalles de chœur et leur pupitre
pour
la Bible, d’où pend un ruban large à la couleur de la saison ou de la
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matin à New York : voilà le temps, voilà le lieu
pour
une étude comparée des liturgies et des principaux rites occidentaux,
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rang de la lutte contre l’esclavage, de la lutte
pour
la prohibition, de la lutte pour les droits du travail, du pacifisme
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age, de la lutte pour la prohibition, de la lutte
pour
les droits du travail, du pacifisme militant, bref, de toutes les gra
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« d’évangile social ». Il s’agissait d’une lutte
pour
l’existence, et les pasteurs y tenaient une fonction directrice. Elle
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vre, un idéal qu’il faut mettre en pratique moins
pour
aller au Paradis que pour jouir du paradis terrestre que pourrait êtr
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ettre en pratique moins pour aller au Paradis que
pour
jouir du paradis terrestre que pourrait être l’Amérique, si seulement
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spondances et des signes. Qu’est-ce que le péché,
pour
eux ? L’inefficacité et l’inadaptation sociale, résultats d’une mauva
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bourg ; ou bien l’église se dresse face au siècle
pour
lui prêcher le pur message de la foi mais alors elle n’est plus dans
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tions amis depuis dix-sept ans, et sans question,
pour
le reste de notre vie. Il est difficile de comprendre que c’est fini.
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nds que Roger Breuil n’a pas cessé de représenter
pour
moi l’inquiétude de la vocation, son cheminement imprévisible, son my
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nt (non sans humour) bien des incertitudes, comme
pour
mieux renvoyer à ce qui les transcende, j’en retrouve des marques sen
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ndaient un « message ». Il n’aimait guère ce mot,
pour
des raisons profondes et non seulement par pudeur naturelle ou discré
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mais, et se garde bien d’utiliser ses personnages
pour
exposer des « idées religieuses ». Il nous montre des hommes et des f
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nommer leur inquiétude. Lui se refuse à la nommer
pour
eux comme le font trop de romanciers chrétiens — mais aussi à la nier
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’ils sont, tenter de coaliser leurs souverainetés
pour
lutter contre les empires, ce serait vouloir coaliser précisément les
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e eux désirent, ne peuvent pas être leur affaire,
pour
des raisons absurdes, mais techniques. Il faut donc les pousser dans
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x états généraux de l’Europe, convoqués à La Haye
pour
le 7 mai. Où elle mène Je ne puis anticiper sur les résolutions
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circulation des hommes, des idées, et des biens.
Pour
assurer ces libertés organisées, certaines institutions seront nécess
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sse à la guerre, et que l’alternative n’est plus,
pour
nous, que d’empêcher cette guerre ou de périr en elle. Séparés, isolé
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à l’État, supérieurs à l’État, et sans lesquels,
pour
nous Européens, le bonheur même paraît inacceptable. Entre un libéral
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e et un étatisme absolus, tous deux nés en Europe
pour
émigrer plus tard sur des terres vierges, où leurs excès sont manifes
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esures, c’est l’Europe rejoignant le xxe siècle,
pour
en prendre la tête et inventer l’avenir. C’est le fédéralisme qui veu
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fédéralisme qui veut que la Terre promise ne soit
pour
nous ni l’Amérique ni la Russie, mais cette vieille terre à rajeunir,
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érer de ses cloisons, notre Europe à reconquérir,
pour
tous ses peuples, pour tous ses partis, et comme le veut son vrai gén
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otre Europe à reconquérir, pour tous ses peuples,
pour
tous ses partis, et comme le veut son vrai génie, pour tous les homme
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tous ses partis, et comme le veut son vrai génie,
pour
tous les hommes. g. Rougemont Denis de, « L’Europe, aventure du X
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re des « rapprochements » est dépassée. Il s’agit
pour
nous, Européens, de construire ensemble une fédération solide. Il exi
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et que le dixième homme est dans un camp ? Pitié
pour
eux, car ils ignorent sans doute l’étendue et la vraie visée de la ty
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i ce mois de mai de Paris, a témoigné, a protesté
pour
la valeur créatrice de la liberté. Maintenant, qu’allons-nous conclur
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t philosophes qui ont pris part à nos entretiens,
pour
nous dire : et maintenant allons-y, serrons les rangs, opposons à la
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’éloignant du sacrifice individuel. Et là-dessus,
pour
terminer, une citation. Elle est d’un Espagnol, et frappe une de ces
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ne facilite une « carrière littéraire » en France
pour
un protestant qui se veut tel et qui, au surplus, n’est pas Français
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de l’art et d’une vision plus large de l’humain,
pour
ceux qui se réfèrent à l’Écriture et à ses traductions liturgiques, s
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coopération au niveau culturel ; nous avons réuni
pour
la première fois les directeurs d’administration d’agences atomiques
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miques des six pays avec le concours de l’Unesco,
pour
créer un laboratoire européen de recherches nucléaires. Le Centre d’é
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d mouvement qui vient d’être appuyé par de Gaulle
pour
diviser le pays en un certain nombre de régions. Je pense qu’on finir
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se qu’on finira par se mettre d’accord assez vite
pour
la France sur une dizaine de régions, plus Paris. Notre idée de fédér
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aulle a annoncé sa décision de dissoudre le Sénat
pour
le remplacer par une assemblée élue par les régions. Il y a à ce suje
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is près de vingt ans. Voici ce qu’il a développé,
pour
nous, sur ce ‟thème imposé”. » p. L’acronyme du Cern, dont il est qu
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institué en 1952 sous le nom de Conseil européen
pour
la recherche nucléaire. q. L’imprimé portait « deux » länder ; Roug
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— que le meneur de jeu m’interrompt nerveusement
pour
m’avertir que je sors du sujet. (Je parle pourtant de Concorde. Mais
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e monde. Si vous gagnez, vous gagnez trois heures
pour
quelques-uns. Étrange pari. Moi, je ne le tiendrais pas… 2. Si les cl
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er toute limitation de vitesse sur les autoroutes
pour
éviter le chômage des carrossiers ? (pour ne rien dire des chirurgien
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oroutes pour éviter le chômage des carrossiers ? (
pour
ne rien dire des chirurgiens, des assureurs, etc.). Les Américains se
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Outre le gain de temps, outre l’emploi — et comme
pour
la guerre du Vietnam, ici encore —, on invoque les « retombées techno
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damment de ces arguments, je suis contre Concorde
pour
deux raisons fondamentales. a) Tout comme les centrales nucléaires. C
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à cette manie démodée de la vitesse et du fracas
pour
épater le monde. Ce qui commence à valoir des fortunes, c’est le cont
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elle de l’EDF définit les écologistes comme ayant
pour
but véritable « d’entraver le fonctionnement des institutions existan
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’avisait de présenter aussi une brochure critique
pour
le nucléaire, la direction le rappellerait aussitôt à l’ordre, car «
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nouvelle définition de la politique : si l’on est
pour
le nucléaire, on fait de l’information ; si l’on est contre, on fait
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iers-monde). Mais si nous prenons un peu de recul
pour
considérer le phénomène dans son ensemble, nous voyons que tout simpl
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ument par excellence de l’État-nation centralisé.
Pour
l’école primaire, l’esprit de l’enfant est une tabula rasa ou maison
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mondiale) et trop grand (à l’échelle des régions)
pour
jouer encore son rôle d’État, — d’animateur, d’arbitre, de protecteur
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x douzaines environ sur la carte qu’avait dressée
pour
le colloque tenu au Conseil de l’Europe, en 1972, V. von Malchus, et
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e de participation civique, régions assez petites
pour
permettre à la voix d’un citoyen de s’y faire entendre et à celles de
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ues d’importance décisive au seuil de la campagne
pour
la première élection du Parlement européen. S’il est vrai que la caus
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ortante d’un pays à l’autre chez les Neuf3. 9.
Pour
un même avenir Encore un mot sur le titre-slogan que je propose. I
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nétrable et l’indicible… Il nous faut donc parler
pour
eux. Parler pour eux, et de leur part, aux hommes qui les méprisent,
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icible… Il nous faut donc parler pour eux. Parler
pour
eux, et de leur part, aux hommes qui les méprisent, les torturent, le
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ert les yeux sur une prairie ensoleillée. Parler
pour
eux, dire la plainte muette des créatures que l’homme a trop souvent
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s (que je vais lire dans la traduction de Calvin,
pour
le premier verset) : La création tout entière, dans une attente arde
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sera affranchie de la servitude de la corruption,
pour
avoir part à la liberté et à la gloire des enfants de Dieu. Or nous s