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théosophes, spiritualistes, catholiques romains,
protestants
épiscopaux, presbytériens, pentecôtistes, méthodistes, luthériens, ju
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de corps qui représentent la grande majorité des
protestants
. Et ces réunions préalables ouvrent des voies jadis insoupçonnées : p
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h quoi ! c’est catholique ! s’écrie scandalisé le
protestant
français qui assiste à l’un de ces cultes. Mais un de mes amis, argen
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Saint-Patrick, se plaignait de l’absence toute «
protestante
» du désordre gentil, de la distraction ou des marques de ferveur thé
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bres inscrits d’une paroisse, dont 40 millions de
protestants
. En vérité, je n’ai décrit qu’une atmosphère, et les croyances du « c
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euil qui vient de mourir était un grand romancier
protestant
(13 mars 1948)f Il était venu passer une soirée chez moi, il y a q
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use, comme exaucée… Il était le meilleur écrivain
protestant
de nos contemporains (bien que son œuvre soit indemne de toute référe
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euil qui vient de mourir était un grand romancier
protestant
», Réforme, Paris, 13 mars 1948, p. 7.
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« Les écrivains
protestants
» (11 avril 1953)l m Fils de pasteur comme les trois sœurs Brontë,
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, mais le seul Roger Breuil en France, je me sens
protestant
non seulement par le hasard d’une origine, mais encore par ma formati
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ite une « carrière littéraire » en France pour un
protestant
qui se veut tel et qui, au surplus, n’est pas Français (Rousseau et B
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mondiale, depuis un siècle, ne doit pas moins aux
protestants
qu’aux catholiques, aux orthodoxes, aux incroyants de toutes nuances.
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yants de toutes nuances. À l’isolement relatif du
protestant
en France, il y a mieux que des compensations sur le plan de la pensé
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Denis de, « [Réponse à une enquête] Les écrivains
protestants
», Réforme, Paris, 11 avril 1953, p. 7. m. Réponse à une enquête réa