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joue que pour de l’argent. Ailleurs, c’est le jeu
sans
partenaire du parti unique au pouvoir : un jeu truqué où le citoyen p
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e voudraient chacun aussi grand que le tout, mais
sans
y croire et sans s’y préparer vraiment. Insistons donc sur deux ou tr
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un aussi grand que le tout, mais sans y croire et
sans
s’y préparer vraiment. Insistons donc sur deux ou trois banalités fon
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s dont le souci dominant est de continuer le jeu,
sans
espoir bien sérieux de gagner la partie, c’est-à-dire d’arriver à gou
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l’autre, en réduisant tous les intermédiaires et
sans
tenir compte des intérêts électoraux, byzantins, perdus dans le détai
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ans le domaine du sacré. Glissez mortels, mourrez
sans
résister… En somme, j’aurais bien tort de ricaner. Tout le monde sait
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chez beaucoup de bons esprits, mais une paralysie
sans
précédent s’est emparée des volontés. Vous-même, je le sens, je ne vo
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parade à la Bombe, selon l’axiome des militaires,
sans
oublier que leur expérience démontre qu’on ne pare jamais qu’un certa
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he des « éléments d’ordre » aussi énigmatique, et
sans
témoins. Je reconnais volontiers que ce processus peut se poursuivre
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encore et s’assoit de nouveau avec une discipline
sans
défaut. Ceci chez les baptistes de Riverside, l’église du Révérend Fo
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les rudiments vitaux de morale civique et privée
sans
lesquels nulle société n’est possible. Il ne s’agissait pas de « mora
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elle, et les voix justes et l’ordonnance du culte
sans
défaut. Au surplus, ce sont de braves gens, plus généreux que les Eur
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nel. On ne saurait aller beaucoup plus loin. Mais
sans
prétendre à dépasser le niveau d’une sociologie religieuse, je voudra
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ors elle n’est plus dans le monde, qui s’organise
sans
elle et ne l’entend plus. Ou bien vous mettez le message à la portée
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nsemble. Nous étions amis depuis dix-sept ans, et
sans
question, pour le reste de notre vie. Il est difficile de comprendre
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s riches d’avenir que le présent. Je dirais même,
sans
trop de paradoxe, que l’utopie peut se définir en général comme un sy
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topie peut se définir en général comme un système
sans
avenir. Le plus grand historien de notre temps, Arnold Toynbee, fait
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mées. Je dis donc que vouloir l’union de l’Europe
sans
rien changer à sa structure économique et politique, c’est pratiqueme
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ats-nations qui se sont arrogé ces droits absolus
sans
devoirs, ont un penchant irrésistible à devenir totalitaires. Et ce n
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ie. Nous voulons une Europe organisée. Une Europe
sans
barrières ni visas, rendue dans toute son étendue à la libre circulat
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atie. Finalement nous voulons l’Europe, parce que
sans
elle le monde glisse à la guerre, et que l’alternative n’est plus, po
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mme, antérieurs à l’État, supérieurs à l’État, et
sans
lesquels, pour nous Européens, le bonheur même paraît inacceptable. E
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ifestes et menaçants, car leur conflit se déclare
sans
issue, l’Europe se doit, et doit au monde d’inaugurer la troisième vo
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pparente, je répondrai par une sorte de parabole,
sans
transition, en visant le cœur du problème. Que nous soyons chrétiens
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es agences d’État : Wolf, Reuter, Havas, Stéfani,
sans
l’aide desquelles la guerre de 1914 n’eût pas été concevable. Dévelop
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tes ; — S’il est vrai que ni la région ne se fera
sans
l’Europe fédérée, ni celle-ci sans des régions à sa base ; — S’il est
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ion ne se fera sans l’Europe fédérée, ni celle-ci
sans
des régions à sa base ; — S’il est vrai enfin que les problèmes écolo
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tube de caoutchouc et à la seringue, qui mourront
sans
avoir jamais ouvert les yeux sur une prairie ensoleillée. Parler pou
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les grands peuples d’animaux attendent le salut,
sans
le savoir peut-être — mais que savons-nous de ce qu’ils savent ? Que