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ns vous déplaisent (suppression des armées et des
souverainetés
nationales). Mais en refusant de choisir la paix, vous votez taciteme
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ations tels qu’ils sont, tenter de coaliser leurs
souverainetés
pour lutter contre les empires, ce serait vouloir coaliser précisémen
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en de sauver notre santé. Une sainte alliance des
souverainetés
dont nous mourons ne nous rendrait pas davantage la vie. Nos frontièr
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des gouvernements, dans le monde actuel, c’est la
souveraineté
absolue. Tous les États-nations qui se sont arrogé ces droits absolus
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transigeaient un seul instant avec le dogme de la
souveraineté
absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre eux désirent, ne pe
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nous serons colonisés l’un après l’autre en toute
souveraineté
nationale, et vous voyez peut-être à quoi je pense. Fédérés, au contr
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n tient au fait que les États veulent garder leur
souveraineté
absolue, devenant ainsi eux-mêmes l’obstacle à toute espèce d’union.
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mais seulement dans une mesure compatible avec ma
souveraineté
nationale. Et l’on sait à quelles résistances de la capitale et de sa