1 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
1 ns vous déplaisent (suppression des armées et des souverainetés nationales). Mais en refusant de choisir la paix, vous votez taciteme
2 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
2 ations tels qu’ils sont, tenter de coaliser leurs souverainetés pour lutter contre les empires, ce serait vouloir coaliser précisémen
3 en de sauver notre santé. Une sainte alliance des souverainetés dont nous mourons ne nous rendrait pas davantage la vie. Nos frontièr
4 des gouvernements, dans le monde actuel, c’est la souveraineté absolue. Tous les États-nations qui se sont arrogé ces droits absolus
5 transigeaient un seul instant avec le dogme de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre eux désirent, ne pe
6 nous serons colonisés l’un après l’autre en toute souveraineté nationale, et vous voyez peut-être à quoi je pense. Fédérés, au contr
3 1968, Réforme, articles (1946–1980). Vers l’Europe des régions ? (30 novembre 1968)
7 n tient au fait que les États veulent garder leur souveraineté absolue, devenant ainsi eux-mêmes l’obstacle à toute espèce d’union.
4 1979, Réforme, articles (1946–1980). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (19 mai 1979)
8 mais seulement dans une mesure compatible avec ma souveraineté nationale. Et l’on sait à quelles résistances de la capitale et de sa