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la première Assemblée de l’Europe, qui s’ouvrit à
Strasbourg
le 10 août, en pleines vacances de l’opinion publique. Pourtant les j
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ent plus de cinq-cents. Et bien d’autres ont jugé
Strasbourg
dans les éditoriaux du monde entier, d’autant plus librement qu’ils n
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illiers de coupures de presse où figure le nom de
Strasbourg
. Une seule opinion générale se dégage de ce flot d’imprimés : et c’es
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t chercher d’autres sources. Que s’est-il passé à
Strasbourg
? Quelque chose d’assez neuf, il faut le croire, pour que la presse n
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nt encore indifférents ou hostiles aux travaux de
Strasbourg
, il faut éviter à tout prix de se porter en avant sans leur soutien.
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éral de demain. Dans les couloirs et les clubs de
Strasbourg
, on a pu voir se former deux écoles. La première tient le Comité des
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t que les deux tiers des députés qui siégeaient à
Strasbourg
appartiennent à notre Mouvement et ont pris l’habitude d’y travailler
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et il est clair qu’il s’est fait de l’Histoire à
Strasbourg
, mais nous n’en connaissons encore que le dynamisme intérieur. Les ré
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a pu voir notre Mouvement à l’œuvre, s’écriait à
Strasbourg
: « J’ai été le témoin, ici, de choses stupéfiantes, amazing things f