1 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
1 la première Assemblée de l’Europe, qui s’ouvrit à Strasbourg le 10 août, en pleines vacances de l’opinion publique. Pourtant les j
2 ent plus de cinq-cents. Et bien d’autres ont jugé Strasbourg dans les éditoriaux du monde entier, d’autant plus librement qu’ils n
3 illiers de coupures de presse où figure le nom de Strasbourg . Une seule opinion générale se dégage de ce flot d’imprimés : et c’es
4 t chercher d’autres sources. Que s’est-il passé à Strasbourg  ? Quelque chose d’assez neuf, il faut le croire, pour que la presse n
5 nt encore indifférents ou hostiles aux travaux de Strasbourg , il faut éviter à tout prix de se porter en avant sans leur soutien.
6 éral de demain. Dans les couloirs et les clubs de Strasbourg , on a pu voir se former deux écoles. La première tient le Comité des
7 t que les deux tiers des députés qui siégeaient à Strasbourg appartiennent à notre Mouvement et ont pris l’habitude d’y travailler
8 et il est clair qu’il s’est fait de l’Histoire à Strasbourg , mais nous n’en connaissons encore que le dynamisme intérieur. Les ré
9 a pu voir notre Mouvement à l’œuvre, s’écriait à Strasbourg  : « J’ai été le témoin, ici, de choses stupéfiantes, amazing things f
2 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
10 nous unir ? Dans le domaine politique, nous avons Strasbourg . Ce n’est pas beaucoup plus qu’une promesse, mais c’en est une. Nous
3 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
11 ussitôt que le terme de fédéralisme étant tabou à Strasbourg , il se verrait obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma propos