1 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
1 , le syndicalisme et les coopératives, et enfin l’ art moderne tout entier : peinture, musique, littérature, poésie, théâtre
2 à la fois nos mœurs et nos objets, nos procédés d’ art et de construction, de transport et de gouvernement, d’industrie et d
3 rophie de l’appareil étatique, et des copies de l’ art officiel de nos grands-pères. Caricatures évidemment ; mais ce n’est
2 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
4 rt bien que notre idée de l’originalité (dans les arts ou dans la conduite) ne signifie rien de raisonnable pour l’Asiatique
3 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
5 ut ce qui est compliqué est vaguement immoral : l’ art baroque en particulier, dont tant de chefs-d’œuvre, pourtant, comme l
6 plus sérieux inconvénients. Car pour qu’un grand art s’épanouisse, il faut un milieu, une école, un public alerté, un snob
7 uvent dépassait leur pays) plutôt que créateurs d’ art ou de pensée pure. Médecins praticiens, guérisseurs d’âmes, mystiques
4 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
8 harmonie, dit un fragment célèbre d’Héraclite. L’ art et la science de cette mise en tension, de cette composition de réali