1 sidération de mon île. Il faut parler d’abord des autocars . Je ne sais si l’on se doute à Paris de l’importance des autocars et

2 sais si l’on se doute à Paris de l’importance des autocars et des transformations qu’ils sont en train de causer dans la vie pro

3 e rurale. Mais ce n’est pas encore assez dire : l’ autocar modifie complètement le mode de contact entre le voyageur et la provi

4 dans chaque village. Aujourd’hui, les stations d’ autocars sont sur la place principale. C’est de là qu’on part au milieu d’une

5 dans la nation abstraitement unifiée ? La ligne d’ autocar fait partie du pays. Elle en épouse la géographie physique, mais auss

6 isme en général. Bref, lorsque vous montez dans l’ autocar , vous êtes renseigné, vaille que vaille, sur les facteurs économiques

7 s dû noter plus tôt. Le monsieur rencontré dans l’ autocar de Taillefer voulait savoir quel était mon métier. Et quand j’eus dit