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e — mais ne dites pas que vous le faites pour son
bonheur
, car il est plus « heureux » que vous. Il faudrait croire fanatiqueme
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érité absolue, qui vaille mieux que la paix et le
bonheur
, pour oser bouleverser la petite vie de notre île. À noter et à souli
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mpare avec avidité des plus furtives promesses de
bonheur
, surtout si elles sont assez obscures et ambiguës pour échapper au fr
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, tout imprévu, risquons-nous d’aborder ? Et quel
bonheur
, auquel il suffirait peut-être d’oser croire ? Se peut-il que ce soit
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te avec d’autres civilisations qui ont cherché le
bonheur
ou la sagesse, l’ordre statique ou l’immortalité. Cette inquiétude co