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n une centaine d’auditeurs : paysans et pêcheurs,
cela
se voit. Au premier rang, deux « dames », l’une très vieille. Ce sont
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lant plus familièrement, sans faire d’éloquence ?
Cela
trancherait au moins sur la propagande électorale. — Oui, oui, mais…
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aquer, certains jours… Il faudra reparler de tout
cela
. M. Palut n’a jamais l’occasion de discuter, il se sent terriblement
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mants dans cette espèce, mais ce n’est point pour
cela
que j’en parle ici. C’est pour une raison très précise et qui n’a rie
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qu’on a beau porter un nombre excessif de jupons,
cela
ne devrait pas suffire à rendre vraisemblable une hypothèse à ce poin
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ant pourquoi notre chambre était pleine de puces.
Cela
n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. Les livres devra
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choses comme dans les choses de rien. Au lieu de
cela
, les modernes nous servent des états d’âme improbables ou excessifs,
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joute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai
cela
. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présente un aspect compl
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; mais ceux qui les écoutent ont l’air de trouver
cela
tout naturel. Je fus certainement le seul ici à m’étonner que l’insti
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prend pas, et cite des noms qu’on ne connaît pas.
Cela
fait partie de l’éloquence. Et l’éloquence est le but du discours, do
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s’exprimer, la timidité, la fatigue, et que tout
cela
peut bien suffire à expliquer le silence de ces cultivateurs. Mais le
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y en a certes qui font progresser la science, et
cela
c’est bien. On va les écouter avec plaisir quand ils viennent faire u
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euses. Mais les philosophes3, par exemple, à quoi
cela
sert-il ? D’ailleurs, on n’en a jamais vu. Quant à la politique, c’es
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ns mon rôle en me dirigeant d’après mes intérêts.
Cela
va de soi. Il est probable qu’aucun homme du peuple ne s’est jamais d
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able qu’aucun homme du peuple ne s’est jamais dit
cela
comme je le dis ici. Mais il me paraît clair que la plupart font comm
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ênante au moment de la récolte. Et, bien entendu,
cela
exclut l’usage des machines agricoles. Pourquoi ne s’entendent-ils pa
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e avait proposé la réforme, avant la guerre. Mais
cela
n’a pas marché. La tradition de l’île veut que chaque champ soit part
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es femmes ont tous le corps plus ou moins déjeté.
Cela
provient évidemment de leur position quand ils travaillent aux champs
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onge au manche, un angle plus grand avec la lame,
cela
suffirait à redresser leur corps et augmenterait le rendement de leur
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uple, en France, lit trop de journaux, ne lit que
cela
, et finit par se croire « le Peuple », tel que l’imaginent les bourge
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tape le carton sans beaucoup de paroles. C’est à
cela
que se réduit la vie commune. Quelques-uns le déplorent parmi les vie
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s concerts de nombreuses fêtes villageoises. Tout
cela
s’est dissous quand les hommes sont partis pour la guerre, et rien ne
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fleurs. Qu’ils n’aient pas de vie communautaire,
cela
ne signifie pas nécessairement qu’ils aient perdu le sentiment de leu
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quelconque, matérielle ou spirituelle. Or, c’est
cela
seul, menace ou entreprise commune, qui rassemble les peuples et les
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mps de travail. Mais ici que feraient-ils de tout
cela
? Ils ont la liberté, et cela leur suffit, depuis cent-cinquante ans.
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eraient-ils de tout cela ? Ils ont la liberté, et
cela
leur suffit, depuis cent-cinquante ans. Ils ne songent pas à en tirer
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font pas fortune. Quelle conclusion tirer de tout
cela
? Quand on voit les choses et les êtres de trop près, on perd le peu
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ndiquerai ici l’enchaînement à peu près immuable.
Cela
commence par quelques anecdotes sur l’installation de la ligne et sur
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n de plus sympathique que les conducteurs de car.
Cela
tient évidemment à leur métier. Ce sont, en général de jeunes gaillar
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de le faire bien : c’est moderne, c’est sportif,
cela
vous pose dans l’esprit des populations, on se sent maître à bord de
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qu’un fonctionnaire (c’était pour le flatter), et
cela
tient aux circonstances mêmes qui l’ont mis dans le cas d’écrire. Car
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t ce qui nous manque, et quand vous aurez compris
cela
, vous cesserez, je le crains, d’envier ma condition… 16 mars 1934 D’
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rlant de raconter une épopée contemporaine : tout
cela
se dégageait ici de la mesquinerie hargneuse des polémiques et des pa
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pas à me rassurer. Plusieurs voulurent savoir si
cela
marchait vraiment là-bas, aussi bien que j’avais pu le laisser croire
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mpressions (je n’ose pas en dire davantage : tout
cela
est encore moins clair dans la réalité que dans ce résumé). Quand j’a
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nçais aient passé au communisme : il leur fallait
cela
sans doute pour oser parler de nouveau une langue large, utile et hum