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holique, antifasciste, laïque, protestant, — tous
ces
mots prennent ici quelque chose de joliment absurde. Les paysans du v
2
entre les opinions, pourtant bien tranchées, que
ces
journaux leur servent. Je crois qu’ils n’y pensent même pas. Peut-êtr
3
nt bien que c’est important de s’y connaître dans
ces
questions ». Il s’exprime avec tant de prudence qu’on a peine à compr
4
nt des révélations du second Faust, mais aussi de
ces
pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à m
5
. Ne montons plus au ciel du second Faust que par
ces
allées de Ferrare ! 18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la con
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ectuels bourgeois). Il est très difficile d’aimer
ces
hommes, et cependant ils sont la réalité vivante et présente du « peu
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Impuissance de l’« esprit », bêtise de l’action :
ces
deux misères n’auraient-elles pas une origine commune ? Il m’a semblé
8
cela peut bien suffire à expliquer le silence de
ces
cultivateurs. Mais le type qui m’a parlé avait la langue bien pendue.
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ler à Paris et peut faire de beaux discours. Dans
ces
conditions, qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l’écoutera
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« intellectuel en chômage. » (Écrire, aux yeux de
ces
paysans, ne signifie proprement rien. S’ils ont un peu de respect pou
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les terres divisées en parcelles minuscules. Sur
ces
parcelles des hommes et des femmes travaillent, le buste parallèle au
12
es femmes travaillent, le buste parallèle au sol.
Ces
deux observations physiques très simples méritent chacune un commenta
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es tout autour du village : l’homme qui travaille
ces
bouts de champ, grands comme ma chambre, doit passer une partie de la
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une éducation solidariste ? On cherche à enrôler
ces
cultivateurs dans des ligues toujours anti-quelque chose, qui n’empêc
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ineux typiquement petit-bourgeois de certaines de
ces
feuilles. Je n’ai jamais retrouvé ce ton dans le peuple. S’il en para
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ane socialiste ou communiste de Paris, et l’un de
ces
petits journaux de campagne. 15 février 1934 Les gens. — Si j’avais
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is bien ce qui m’arrêterait dès les premiers pas.
Ces
hommes n’ont pas ou n’ont plus coutume de se réunir, d’être ensemble
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ettent les seules verticales. Existence ramenée à
ces
deux dimensions premières. Pour la vie, l’homme debout et actif, il f
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choses simples, rudimentaires. Mais quand je vois
ces
hommes et ces femmes accrochés à cette terre pauvre, qu’ils grattent
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, rudimentaires. Mais quand je vois ces hommes et
ces
femmes accrochés à cette terre pauvre, qu’ils grattent lentement pour
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quitté Paris, j’ai bien utilisé une vingtaine de
ces
lignes. Je commence à connaître leurs coutumes : rien ne pouvait modi
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ord de sa puissante machine, et l’on bénéficie de
ces
petites faveurs que les femmes ont toujours accordées à ceux qui comm
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cisifs lors d’une action rapide. Mais loin de moi
ces
ambitions : ceux qui les ont n’en parlent pas, dit-on. Et je ne suis
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justice : c’est qu’on attend, qu’on exige même de
ces
gens-là des vertus au-dessus du commun, la révélation de secrets qui
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ons et fous. Je décrivis les révoltes obscures de
ces
masses opprimées et naïves, conduites par des équipes d’hommes durs,
26
e laisser croire ; si ce n’était pas encore un de
ces
régimes de dictature ; si les paysans avaient plus de liberté qu’aupa
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sur leurs aspirations politiques en particulier.
Ces
aspirations, à la vérité, sont extrêmement imprécises. Il y a, en Fra
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ns précises, en apportent des preuves frappantes.
Ces
pages sont extraites du Journal d’un intellectuel en chômage , qui d
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olitique, de rêve et de mystique élémentaire. Or,
ces
faits ne sont pas seulement coïncidents. Ce n’est point du hasard qu’
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elle, une attraction, comparable au vertige, vers
ces
régions de l’être obscur que le bon sens et la philosophie prétendaie
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pirituel étranger à nous-mêmes était le mobile de
ces
irruptions soudaines d’images inconnues qui se jettent à la traverse
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er des œuvres achevées. En effet, le mouvement de
ces
poètes est inversé de celui du Créateur. Créer, c’est donner forme, e
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blessures qu’il a subies. Il est emprisonné dans
ces
données, et c’est en vain qu’il chercherait à y échapper par des subl
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pparences une évolution fort semblable à celle de
ces
pseudo ou prémystiques que furent les poètes du rêve : il se dévoue à
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réalité qui nous opprime si méticuleusement, tous
ces
articles du traité qui nous accusent, toutes ces règles du jeu politi
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ces articles du traité qui nous accusent, toutes
ces
règles du jeu politique inventées par des rationalistes, alors que no
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rysler, du Centre Rockefeller, de vingt autres de
ces
sommités célèbres que les New-Yorkais vous désignent comme les Suisse
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des secrets de la démesure de Manhattan : seules,
ces
assises de granit étaient capables de supporter le formidable poids d
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ent tout de suite à l’usage physique, non point à
ces
symboles de l’âme que forment les châteaux au fond de nos mémoires. L
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s’est retiré. Ce n’étaient pas « les péchés » de
ces
hommes et de ces femmes, ni les miens, dont nul ne peut juger et qui
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n’étaient pas « les péchés » de ces hommes et de
ces
femmes, ni les miens, dont nul ne peut juger et qui peut-être n’en so
42
s dépourvues d’ornements. Beekman Place est un de
ces
lieux où l’exilé s’écrie : « Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y tr
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e nature — car l’eau même est canalisée — ce sont
ces
trois îlots de granit noir couverts de mouettes, et signalés par deux
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t les milliardaires et les acteurs. Et tout près,
ces
jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. E
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rds par la silhouette des escaliers de sauvetage.
Ces
grands seaux à ordures en métal, rarement ou mal vidés dans ce quarti
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ork dans un train bondé de soldats. (Le nombre de
ces
petits services que vous rendent ici les voisins ! En Europe, le vois
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taire. Les passants me paraissent aussi laids que
ces
maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux paroi
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u portique, entre les hautes colonnes blanches et
ces
ifs dramatiques, on domine un paysage de pluies lointaines et de prai
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e chercher des verres et des bouteilles. Qui sont
ces
gens ? Elle dit : — Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans l
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ajouter aux plus hauts gratte-ciel de New York, à
ces
grandiloquents témoins de la crise de 1929, où les affaires périssent
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ut-être vers la profondeur, vers la culture, vers
ces
problèmes que le grand nombre a toujours fuis, partout. Peut-être alo
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nt au plan mondial de la Russie et de l’Amérique.
Ces
deux colosses sont en train de s’observer par-dessus nos têtes. Ils n
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, autant que la Russie et tous ses satellites. Si
ces
320 millions d’habitants faisaient bloc, soit qu’ils se déclarent neu
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urgatoire de mille ans. » C’était vers 1860. Mais
ces
rêves et ces prophéties ne pouvaient concerner qu’un avenir incertain
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mille ans. » C’était vers 1860. Mais ces rêves et
ces
prophéties ne pouvaient concerner qu’un avenir incertain, au milieu d
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traînarde à l’idée d’une union continentale. Mais
ces
premières ferveurs devaient bientôt se perdre dans la rumeur polyglot
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quelques milliers de lecteurs pour leurs revues.
Ces
dernières n’étaient pas d’une lecture très facile. On y parlait beauc
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ère tâche qui s’imposait, c’était de fédérer tous
ces
fédéralistes dispersés. Dès 1946, ce fut chose faite : l’Union europé
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lamée dans son grand discours de Zurich. C’est de
ces
deux initiatives indépendantes, et de leur rencontre à Montreux, que
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mission d’enquête indépendante des gouvernements.
Ces
deux organes formeraient le noyau d’un véritable pouvoir fédéral. Il
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ulent travailler pour l’Europe. Coordonner toutes
ces
initiatives dans le cadre d’un grand mouvement qui leur donnera le mo
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mandes. De fait, une semaine a suffi pour réussir
ces
différentes opérations, et même pour écarter les deux dangers majeurs
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t qui ne recouvrent pas les anciennes divisions. (
Ces
dernières ne se retrouvent, mais notablement atténuées, que dans le p
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vant sans leur soutien. On serait tenté d’accuser
ces
prudents de scepticisme impénitent. En vérité, ils me semblent pécher
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n de l’Europe et déclarer qu’on ne touchera pas à
ces
sacro-saintes souverainetés.) Mais au lieu de discuter sur l’abandon
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la culture (déjà en voie de formation à Genève).
Ces
décisions couronnent le travail obstiné de quelques petites équipes a
67
tude d’y travailler ensemble. On s’est demandé si
ces
premiers succès laissaient encore une raison d’être suffisante au Mou
68
ments nationaux en disposeront. Et qui dispose de
ces
divers pouvoirs, sinon l’opinion générale, qu’il s’agit maintenant d’
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Europe et de culture. Où commencent, où finissent
ces
deux réalités ? À la fois dans l’espace et dans le temps, elles sont
70
s, une valeur absolue, non mesurable. À partir de
ces
trois pôles, il est possible d’interpréter les principales structures
71
rsonnalisme. La lutte que se livrent actuellement
ces
trois attitudes humaines dans le monde, dans la société et jusque dan
72
mesure individuelle et d’organisation collective.
Ces
trois idées-forces, ces trois ressorts de l’âme occidentale — on en p
73
’organisation collective. Ces trois idées-forces,
ces
trois ressorts de l’âme occidentale — on en pourrait mentionner d’aut
74
trise de l’homme sur lui-même et le monde… Toutes
ces
définitions, et vingt autres possibles, sont à la fois justes et cont
75
uider une action. ⁂ Essayons de saisir maintenant
ces
deux réalités, l’Europe et la culture, dans leur drame immédiat à nos
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ffre plus aux empires américain et russe qu’un de
ces
vides dont l’Histoire n’a pas moins horreur que la Nature. De plus, e
77
aturent et l’asservissent. Or, il est évident que
ces
conditions sont particulièrement graves pour l’Europe, puisqu’elles b
78
s Chinois, les Noirs copient l’Europe pour toutes
ces
choses, mais nous, nous copions tout au plus quelques citations de le
79
s évidemment ; mais ce n’est point par hasard que
ces
deux grands pays semblent appeler ce procédé de description : leurs t
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oissés pour notre avenir immédiat. Presque toutes
ces
raisons tomberaient, si demain nos frontières tombaient. Certes, il y
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pas un seul instant à sous-estimer l’importance.
Ces
conflits ne seront pas résolus par la seule grâce de notre union. Mai
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s envoie, mêlés à la circulation bien ordonnée de
ces
quartiers, des signes brefs et toujours inquiétants, le cri précipité
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des crachats rouges de bétel sur le trottoir, et
ces
moignons de bras charmants et menaçants… Sur le port et devant les gr
84
e à Naples. Il y a bien, assises sur les marches,
ces
fillettes en sari aux narines cloutées d’un diamant, aux chevilles su
85
, c’est l’inhumanité (à notre sens occidental) de
ces
deux êtres absolument pareils et dénués de toute expression, leur naï
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possédée par le rythme léger des instruments, et
ces
coups décochés à intervalles précis, par une détente d’une vigueur fo
87
sse, qu’ici le Moi, l’ego central, n’existe pas ?
Ces
danseurs sont des rôles, des acteurs absolus, des fonctions symboliqu
88
e tenir là, observé, surveillé, repoussé par tous
ces
yeux hostiles et insistants. Sur les grandes dalles de pierre, l’urin
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ualistes. Et bien plus encore le salut. Je revois
ces
femmes seules dans les temples étroits, intimes avec le dieu, tournan
90
es avec le dieu, tournant le dos aux passants. Et
ces
hommes en prière contre un mur. Et ces saints demi-nus, traversant à
91
ssants. Et ces hommes en prière contre un mur. Et
ces
saints demi-nus, traversant à grands pas les rues encombrées de piéto
92
e, entraînerait d’infinies conséquences dans tous
ces
ordres. Elle créerait un champ libre aux problèmes personnels, aux ri
93
lère personnelle contre l’opposition. En dépit de
ces
défauts, que les Indiens lui reconnaissent, entouré du respect généra
94
ant une invasion. Et ainsi de suite… Presque tous
ces
problèmes me semblent insolubles. Il faut donc aider l’Inde, mais qui
95
p. 56-69. i. Introduit par la note suivante : «
Ces
tableaux de l’Inde que Denis de Rougemont rapporte d’un récent voyage
96
ibles, mais le monde a changé, et l’on s’adapte à
ces
changements, loin de s’accrocher aux recettes du passé (sauf en polit
97
que de Zurich) se sent complètement dépaysée dans
ces
sanctuaires où l’or est gaspillé sur des stucs boursouflés et qui man
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point c’est tout ! », me criait hier encore un de
ces
« gardiens du seuil », parce que j’avais dévié de quelques centimètre
99
Comme la censure des films (cantonale ou locale),
ces
mesures restrictives ne provoquent plus ni sursauts de révolte ni far
100
l’une des nôtres”, tout en sachant fort bien que ‟
ces
mariages mixtes ne réussissent jamais”. Elle voyait dans son attitude
101
ariages intercantonaux et interconfessionnels : «
Ces
mariages mixtes !… » En réalité, le divorce s’explique surtout par d’
102
t autre chose, ou peut-être précisément parce que
ces
forces et ces réalités étaient pour eux problèmes, contestations, con
103
ou peut-être précisément parce que ces forces et
ces
réalités étaient pour eux problèmes, contestations, conceptions idéal
104
siquement nos petits compartiments. Que fera dans
ces
conditions l’homme de talent ou d’ambition ? Il a trois possibilités
105
fixé que Barth les rejetterait. Le dialogue entre
ces
deux hommes n’était même pas concevable, et de fait il n’a pas eu lie
106
e de ce que je dois à l’un autant qu’à l’autre de
ces
maîtres incompatibles.) Nous n’avons pas en Suisse de poètes de génie
107
vétérées. En revanche, les grands noms cités dans
ces
pages ne seraient guère pensables hors du complexe suisse. Et c’est à
108
r nos Alpes comme Horace-Bénédict de Saussure que
ces
hommes s’illustrèrent et apprirent à voir grand, c’est en s’expatrian
109
65, p. 53-64. k. Suivi de la notice suivante : «
Ces
pages paraîtront dans La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux c
110
ités infranationales, solidarités et autonomies :
ces
deux mouvements contraires se prononcent en même temps, résultent en
111
ication des jumelages européens entre communes de
ces
mêmes régions, créations d’organismes de coopérations multinationales
112
ication n’est pas tellement mieux satisfaite dans
ces
trois États officiellement fédératifs que dans les nations unitaires
113
ion des cantons suisses ! Il est certain que dans
ces
trois cas, c’est moins le fédéralisme qu’on est en droit d’incriminer
114
la foi que l’on accorde ou non à la substance de
ces
énoncés, je retiens que leurs formes et structures posent un certain
115
’il formera avec d’autres hommes, ses semblables.
Ces
groupes devront être, à leur tour, à la fois autonomes et solidaires
116
sel, source et fin de toute communauté. Dans tous
ces
domaines d’existence, quels seront les principes de méthode dictés pa
117
Sorbonne au xiiie siècle) puis une fédération de
ces
petites unités en départements, et je retrouve ici les solutions préc
118
er la pensée des sociétés et de dicter aux hommes
ces
“images de comportement” dont Bertrand de Jouvenel a si justement mis