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ation précise aux choses, etc. Ne montons plus au
ciel
du second Faust que par ces allées de Ferrare ! 18 décembre 1933 Je n
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ir ozoné et la lumière éclatant très haut dans le
ciel
sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais…
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rois dimensions de l’espace, sauf un découpage de
ciel
mat, tout est fait de main d’homme sur table rase, imbriqué, condensé
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es toits, et la rivière ouvre l’espace, double le
ciel
, qui règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir
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n fuyant, et c’est la ville alors qui s’empare du
ciel
, s’en fait un dôme à sa mesure et le referme sur sa nuit de ville.
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e scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le
ciel
rouge. Une radio clame Amapola, plus fort que tout, dans la cour où l
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sur une route de campagne, au creux des haies, le
ciel
se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On n
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velours rouge sont moisis. Nous redescendons. Le
ciel
est devenu noir. Du portique, entre les hautes colonnes blanches et c