1 urs acceptent volontiers toutes sortes de petites commissions que de vieilles dames leur confient au départ avec force recommandati

2 epuis la fuite du dernier locataire. L’une de nos commissions siégeait dans le cabinet de travail du dictateur, et les séances plén

3 européenne, une Cour des droits de l’homme et une Commission d’enquête indépendante des gouvernements. Ces deux organes formeraien

4 s l’ordre du jour de l’Assemblée ; constituer des commissions permanentes ; délimiter une majorité et une opposition ; bref, roder

5 européens sont attestés par un fait capital : la Commission des affaires générales, élue par l’Assemblée dès le 20 août, s’est en

6 lée sera saisie d’un plan dont le président de la Commission , M. Bidault, peut déjà déclarer qu’il s’orientera nettement vers une

7 r la Chambre haute (Sénat ou Conseil d’États). La Commission permanente de vingt-huit membres, élue par cette double Assemblée, po

8 ouvoir supérieur aux États. Elle a créé plusieurs commissions permanentes pour étudier l’instauration rapide d’une autorité politiq

9 lité le principal : la Constitution fédérale. Les commissions de l’Assemblée la proposeront, mais les gouvernements et parlements n

10 istration locale, du secours des pauvres et de la commission scolaire. Henri-Frédéric Amiel n’eut même pas à choisir un pseudonym