1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens, lors de
2 ’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens, lors de ce congrès , il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particul
2 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
3 nomique. Voici le fait fondamental qu’énonçait au congrès de La Haye le Message aux Européens  : Aucun de nos pays ne peut pr
4 pour le mois d’août 1947, à Montreux, son premier congrès . Qu’étions-nous à l’époque, il y a un an et demi ? Cent-cinquante à d
5 apes du mouvement vers l’Europe unie, à partir du congrès de Montreux jusqu’à ceux de La Haye, de Rome et, tout récemment, de B
6 ent discernable. De Montreux à Bruxelles Le congrès de Montreux n’était pas terminé que l’idée naissait parmi nous d’en é
7 ll, avait également l’intention de convoquer un «  Congrès de l’Europe ». Il ne s’agissait pas, dans son esprit, d’une entrepris
8 e leur rencontre à Montreux, que devait sortir le congrès de La Haye. Dès l’automne 1947, un Comité de coordination des mouveme
9 chevaliers du Parlement néerlandais, s’ouvrait le Congrès de l’Europe. Nous étions cette fois-ci plus de huit-cents délégués, p
10 fut mis au point très rapidement, au lendemain du congrès de La Haye. Par l’intermédiaire de M. Bidault, il fut présenté à la r
11 e des fédéralistes réunissait à Rome son deuxième congrès annuel. À Montreux, nous avions tenu nos séances dans une modeste sal
12 de licteur les grandes lettres du mot Europe. Le congrès fut inauguré en présence de tous les ministres par un discours du pré
13 gente conduite par les fédéralistes. Peu avant le congrès de Rome, le Comité de coordination des groupements militant pour l’un
14 Assemblée au rôle purement consultatif d’un petit Congrès d’experts nommés par les gouvernements. Tout le pouvoir, dans ce cas,
15 ériter l’adjectif de son titre. C’est pourquoi le congrès de La Haye a réclamé l’institution rapide d’un Centre européen de la
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
16 nous demande pourquoi nous venons ici. — Pour un congrès . — Quel congrès ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la lib
17 urquoi nous venons ici. — Pour un congrès. — Quel congrès  ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la liberté de la cultu
18 ongrès. — Quel congrès ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la liberté de la culture. — Qui l’organise ? — La revue T
19 qui est publiée à New Dehli. — Alors, pourquoi le Congrès se tient-il à Bombay ? — Parce que M. Nehru le veut ainsi. (Réponse p
20 fonctionnaire que c’est M. Nehru qui patronne le Congrès , alors qu’en vérité, il s’est borné à le déplacer, par un décret, de
21 res à l’éditeur, et commentaires critiques sur le Congrès . Je quitterai l’Inde sans avoir voulu dire ce que j’en pense, qui se
22 étude. J’arrivais à l’instant de Bombay, où notre Congrès s’était clos sur une résolution condamnant le neutralisme. J’avais lu
23 d’abord. (À la première mention que je risque du Congrès , baissant la tête et regardant sa main posée sur un coussin, sans réa
24 nnaissant bien les écrivains qui participèrent au congrès , mais esquivant doucement mes tentatives pour entrer dans le vif du s
25 i dis que Madariaga, dans la séance de clôture du congrès , s’est écrié : « Votre Nehru, c’est l’un des six ou sept qui dirigent
4 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
26 ques années, je suggérai au comité directeur d’un congrès européen qu’une journée fût réservée à des travaux sur le fédéralisme