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s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier
congrès
des instituteurs qui s’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens, lors de
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’est tenu à Paris. Eh bien ! citoyens, lors de ce
congrès
, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particul
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nomique. Voici le fait fondamental qu’énonçait au
congrès
de La Haye le Message aux Européens : Aucun de nos pays ne peut pr
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pour le mois d’août 1947, à Montreux, son premier
congrès
. Qu’étions-nous à l’époque, il y a un an et demi ? Cent-cinquante à d
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apes du mouvement vers l’Europe unie, à partir du
congrès
de Montreux jusqu’à ceux de La Haye, de Rome et, tout récemment, de B
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ent discernable. De Montreux à Bruxelles Le
congrès
de Montreux n’était pas terminé que l’idée naissait parmi nous d’en é
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ll, avait également l’intention de convoquer un «
Congrès
de l’Europe ». Il ne s’agissait pas, dans son esprit, d’une entrepris
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e leur rencontre à Montreux, que devait sortir le
congrès
de La Haye. Dès l’automne 1947, un Comité de coordination des mouveme
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chevaliers du Parlement néerlandais, s’ouvrait le
Congrès
de l’Europe. Nous étions cette fois-ci plus de huit-cents délégués, p
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fut mis au point très rapidement, au lendemain du
congrès
de La Haye. Par l’intermédiaire de M. Bidault, il fut présenté à la r
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e des fédéralistes réunissait à Rome son deuxième
congrès
annuel. À Montreux, nous avions tenu nos séances dans une modeste sal
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de licteur les grandes lettres du mot Europe. Le
congrès
fut inauguré en présence de tous les ministres par un discours du pré
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gente conduite par les fédéralistes. Peu avant le
congrès
de Rome, le Comité de coordination des groupements militant pour l’un
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Assemblée au rôle purement consultatif d’un petit
Congrès
d’experts nommés par les gouvernements. Tout le pouvoir, dans ce cas,
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ériter l’adjectif de son titre. C’est pourquoi le
congrès
de La Haye a réclamé l’institution rapide d’un Centre européen de la
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nous demande pourquoi nous venons ici. — Pour un
congrès
. — Quel congrès ? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la lib
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urquoi nous venons ici. — Pour un congrès. — Quel
congrès
? Il y en a beaucoup. — Le Congrès indien pour la liberté de la cultu
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ongrès. — Quel congrès ? Il y en a beaucoup. — Le
Congrès
indien pour la liberté de la culture. — Qui l’organise ? — La revue T
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qui est publiée à New Dehli. — Alors, pourquoi le
Congrès
se tient-il à Bombay ? — Parce que M. Nehru le veut ainsi. (Réponse p
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fonctionnaire que c’est M. Nehru qui patronne le
Congrès
, alors qu’en vérité, il s’est borné à le déplacer, par un décret, de
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res à l’éditeur, et commentaires critiques sur le
Congrès
. Je quitterai l’Inde sans avoir voulu dire ce que j’en pense, qui se
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étude. J’arrivais à l’instant de Bombay, où notre
Congrès
s’était clos sur une résolution condamnant le neutralisme. J’avais lu
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d’abord. (À la première mention que je risque du
Congrès
, baissant la tête et regardant sa main posée sur un coussin, sans réa
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nnaissant bien les écrivains qui participèrent au
congrès
, mais esquivant doucement mes tentatives pour entrer dans le vif du s
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i dis que Madariaga, dans la séance de clôture du
congrès
, s’est écrié : « Votre Nehru, c’est l’un des six ou sept qui dirigent
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ques années, je suggérai au comité directeur d’un
congrès
européen qu’une journée fût réservée à des travaux sur le fédéralisme