1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 faire un intéressant discours sur le sujet… Je ne connais pas beaucoup M. Palut, n’est-ce pas, c’est la première fois qu’il vie
2 ent à l’orateur. Il s’excuse encore de ne pas s’y connaître assez en religion, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève
3 rien à répondre, c’est juste, ce qu’il a dit ! Il connaît bien son affaire. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible,
4 tout ça. On sent bien que c’est important de s’y connaître dans ces questions ». Il s’exprime avec tant de prudence qu’on a pein
5 ue vous me la demandez. Je sais bien que vous les connaissez beaucoup mieux que moi… Le pasteur sourit : — Vous me faites plaisir,
6 a propagande électorale. — Oui, oui, mais… je les connais . Ils aiment qu’on leur fasse un beau discours. Ah ! c’est terrible, j
7 qu’on ne comprend pas, et cite des noms qu’on ne connaît pas. Cela fait partie de l’éloquence. Et l’éloquence est le but du di
8 es centiares, les plus grandes un à deux ares. Je connais déjà la géographie locale assez pour me rendre compte de la dispersio
9 ue la raison en était réellement aussi simple. Je connais tout de même assez la terre pour savoir que les mêmes outils ne sont
10 tilisé une vingtaine de ces lignes. Je commence à connaître leurs coutumes : rien ne pouvait modifier plus rapidement et plus pro
11 tant de choses qu’on n’a jamais pris la peine de connaître , chez les « intellectuels ». 17 mars 1934 L’instituteur vendéen. — N
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
12 n’hésite pas à y trouver l’explication d’un fait connu de tous les historiens : c’est l’incapacité des romantiques à donner
3 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
13 rois violemment découpées, c’est un climat que je connais … Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans sa profondeur.
14 cette rue très courte est l’une des rares — j’en connais trois dans Manhattan — qui, à la fois, ne portent pas de numéro et ne
15 e rappellerai, une fois de retour en Europe. J’en connais par avance la nostalgie. Le soir vient dans un luxe américain d’ocres
16 est sans doute d’origine indienne. « Personne ne connaît notre ville, me dit Robert, et pourtant elle avait les plus grandes f
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
17 nouvelle, il y a près de deux-mille ans qu’on la connaît  : la mort d’un Juif obscur, près de Jérusalem, a fait moins de bruit,
18 t fait de l’Histoire à Strasbourg, mais nous n’en connaissons encore que le dynamisme intérieur. Les résultats pourront être jugés
5 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
19 ne espèce d’autre homme produite par les familles connues de la planète. Il ne pouvait faire autrement. Je parle des derniers m
20 . J’ai dressé une liste de nos créations les plus connues , celles qui ont fixé le visage du monde moderne. Et cette liste est i
6 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
21 onvaincu : il voudrait obtenir des réponses qu’il connaît . Finalement : — Où habiterez-vous ? — Au Taj Mahal Hôtel. Sourire de
22 admirer ceux qui vénèrent les vaches. L’homme qui connaît ses dieux se conçoit dans leur ordre et sans autres problèmes, la fai
23 aim n’étant qu’un ennemi. L’Occidental, qui ne se connaît plus, va voir ailleurs comment on croit, mais sans désir sérieux de p
24 telligentsia, c’est retrouver d’abord ce que nous connaissions , avec la seule surprise de n’en pas avoir d’autres. Dès les premières
25 je viens de sentir au moins pourquoi l’Asie peut connaître les castes, ignorer entièrement la personne, faire bon marché de l’in
26 Nous bougeons presque tous en dormant. Mais je ne connais pas d’Indien nerveux, même parmi les intellectuels.) Près du port, de
27 nistes sont allemands ou français, mais l’Inde ne connaît guère l’Europe que par les collèges anglais, et d’autre part, elle es
28 en rien le gros du peuple indien, qui n’a jamais connu le phénomène des « masses », ni l’individualisme dont il est la ranço
29 re le mythe et la personne. Les autres sont assez connus . Des milliers de vaches sacrées, d’ailleurs malades, embarrassent la
7 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
30 me. Ils acceptent leur condition, parce qu’ils en connaissent bien les données de fait et les impératifs concrets, et qu’ils la jug
31 uel d’une sagesse libérée des contingences. Je ne connais pas d’autre pays où l’on pourrait poser au citoyen moyen cette questi
32 Suisses, au temps des Ligues, n’étaient pas moins connus pour la licence de leurs mœurs que pour l’austérité patriarcale de le
33 ral, et dont chaque employé des douanes est censé connaître la liste (Sade, Henry Miller, etc.). Or, les critères d’un tel office
34 anton voisin). En revanche, raconte-t-il : « J’ai connu une dame de Schaffhouse dont le fils avait épousé une jeune fille de
35 er vient chez nous et cite l’un des Suisses qu’il connaît par sa réputation mondiale, il ne trouvera pas une personne sur mille
36 et spirituel des Églises romaine et grecque — il connaît et il redécouvre la valeur des rites et des symboles et il est tout l
8 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
37 relations bipolaires dont le « modèle » nous est connu  : c’est celui qu’ont élaboré les fondateurs de la philosophie occiden