1  » Contre-épreuve : un petit propriétaire venu du continent il y a trois ans et qui utilise des outils ordinaires, me dit qu’il a

2 à peine. Ils subsistent. À la fois aux limites du continent et aux limites de l’humanité. Ils n’attaquent plus, ils se cramponnen

3 la proportion des fous est moindre ici que sur le continent . Et l’on meurt vieux, et les médecins ne font pas fortune. Quelle con

4 grand délire de construction qui enfièvre tout le continent et dont le pont de l’autostrade au long de l’horizon porte la gloire.

5 antesque se poursuit en silence à travers tout le continent . Personne n’en parle. On n’a pas eu besoin de changer de régime pour

6 se mit en route pour la joindre. Mais nous, quel continent nouveau, tout imprévu, risquons-nous d’aborder ? Et quel bonheur, auq

7 besoin d’un inventaire des forces culturelles du continent . Cette nécessité devient évidente dès qu’on entreprend des recherches

8 ages culturels de l’Europe par rapport aux autres continents , sur les forces disponibles pour certaines tâches, sur les réformes à

9 d’un instrument d’action concertée à l’échelle du continent , quelque chose comme un Chatham House européen, mais certainement plu

10 r élargir l’esprit nationaliste aux dimensions du continent , non par orgueil ou par satisfaction de nous-mêmes, et encore moins a

11 i peut devenir l’École des sciences politiques du continent . g. Rougemont Denis de, « L’Europe et sa culture », La Revue de Par

12 n trouve parmi eux les plus grands États des cinq continents et les plus modernes — ainsi les États-Unis, le Mexique et le Brésil