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our un dimanche prochain, au chef-lieu, après son
culte
. Je suis rentré à bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la ro
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, le mépris des frontières et des obligations, le
culte
des morts rétabli, le rêve d’expansion indéfinie, mais aussi le goût
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nt de liturgie non plus puisqu’il n’existe pas de
culte
public, ni même de rites communautaires ; à part les processions et f
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t qui semble voué au collectif, la dévotion et le
culte
sont individualistes. Et bien plus encore le salut. Je revois ces fem