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ommunion, superstitieux, poètes, bons et fous. Je
décrivis
les révoltes obscures de ces masses opprimées et naïves, conduites pa
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issant. C’est la Nuit des sens et de l’esprit que
décrit
un Jean de la Croix, et dont la nuit des songes, chantée par les poèt
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à la rechercher précisément dans le passé. Moritz
décrit
ainsi le héros d’un de ses romans : « Il lui parut qu’il s’était écha
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es processus fort analogues à ceux que nous avons
décrits
. Il ne s’agit pas d’influences, il ne s’agit que de reviviscences — v
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couvre un sophisme. Car les journaux ne sauraient
décrire
l’opinion sans la modifier : ce sont eux qui la déterminent en bonne
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pouvaient naître que du complexe que je viens de
décrire
. Ce sont les idées de révolution, de passion et de progrès. Elles son
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pouvait être mère), cent témoignages concordants
décrivent
une Suisse gaillarde, rustique et soldatesque, qui préfère la virtù à