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mposait, c’était de fédérer tous ces fédéralistes
dispersés
. Dès 1946, ce fut chose faite : l’Union européenne des fédéralistes s
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tous les éléments sont pourtant parmi nous, mais
dispersés
. La division de l’Europe paralyse notre culture aussi, puisqu’il n’es
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nous avons besoin d’une coordination des efforts
dispersés
entre nos vingt nations. Partout, l’on voit surgir des instituts13 do
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écisions, hiérarchisés. Séparer les pouvoirs, les
disperser
, les répartir selon le bon sens, voilà le programme proudhonien de di