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luisants comme du marbre, ont été plaqués sur les
façades
et dans les vestibules des plus riches bâtiments, reliques scellées d
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ongs d’autos jaunes ou noires, harmonie fauve des
façades
, circulation vibrante aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte et l
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s vagues envahis d’herbes. Les arbres cachent les
façades
, moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière ouvre l’espace, dou
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et de grands draps claquants. Du haut en bas des
façades
de brique zigzaguent les noirs escaliers de sauvetage. Dans un sous-s
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rectangles, à part les chiffons et les chats. Les
façades
, hauts rectangles troués de lumières et de scènes du soir, s’étagent
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Soudain, un coup de vent violent a jeté contre la
façade
et nos visages un tourbillon de feuilles et de grosses gouttes obliqu