1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 La péroraison a été éloquente, un peu trop à mon goût . On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. L
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
2 bli, le rêve d’expansion indéfinie, mais aussi le goût de la guerre (préfiguration de la mort, toujours rêvée par les grands
3 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
3 nos raisons folles. Si nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce paysage se transformerait. Si je me tourne vers le
4 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
4 dans nos pays. C’est qu’ici, rien ne relève du «  goût  », mais chaque forme et chaque geste sont dictés par le rite et revêt
5 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
5 oir qu’elle est une parce qu’elle est diverse. Le goût du juste milieu, le sens du compromis, l’attrait de la moyenne et son
6 r syndicalistes, patrons et gouvernants, c’est le goût du travail dont on a pu écrire qu’il est « le mode existentiel des Su
7 en France, la nuance est significative. Quant au goût de la simplicité, affiché jusqu’à la manie ou au défi, il caractérisa
8 son auteur. D’où il résulte, par exemple, que le goût du travail correspond chez le Suisse moyen à une exigence morale plut
9 lever à 9 heures ? » À l’origine du devoir et du goût de se lever tôt pour travailler, il y a la Bible autant que la coutum